Bureau du Directeur du centre culturel : Myushi

Voici le bureau de Myushi. Un bureau simple, sans trop de décoration. Ce qui au final est assez ironique quand on songe à sa fonction...
Bref, composé d'un simple bureau de chêne tient en un rouge foncé et de trois chaises. Une pour lui et deux pour ses visiteurs. Du même bois que le bureau. On ne trouve rien d'autres qu'un monticule de dossiers et des demandes à droite ou à gauche...

C'est en ce lieu que vous devez venir afin de proposer vos oeuvres. Myushi doit donner son aval, aidé de son sous-directeur (son nom me sera donné plus tard, j'éditerais donc).

N'oubliez pas ! Votre oeuvre doit être validée avant d'être répartie dans les sections proposées !

A présent ? Que dire de plus qu'à vos pinceaux, plumes ou marteaux... Et crées habitants de Bourganeuf !!

Danvile vint voir Myushi afin de s'entretenir avec au sujet de l'association de troubadours.

- Bonjour Myushi, j'ai reçu ton courrier, et je trouve ça assez intéressant, il vaudrait que tu suives ça de près et que tu vois quand leur groupe sera assez mûre pour se produire à Bourganeuf.

Il lui souria et attendit sa réaction.

T'as vu, le groupe et le rang sont fait.

Myushi fut assez surpris d'avoir pour première visite le Maire. Le fixant, il écouta ce que ce dernier avait à lui dire.

- Bonjour. Nous sommes donc d'accord. Je vais donc suivre cela de prêt. Ne vous en faites pas ! " Répondit d'une voix neutre le brun.

Il fixa encore un peu Danvile, avant de reprendre la parole.

- Je propose d'attendre comment leur premier concour se déroule, celui proposé à Village de Tulle, et ensuite, réfléchir à ce que nous voulons comme animation. Je pense qu'un concour ou un grand jeu pourrait réveiller les habitants de Bourganeuf. "

Terminant ici, le brun attendit avec calme la réponse de son vis-à-vis...

Un messager vint apporter ce qu'un postier lui avait confie. Un message s'adressant à l'administration culturel:

Citation :

Monsieur,

j'ai ouie dire que lors de mon absence de bourganeuf, pour des raisons qui me sont imposées, le centre culturel a ouvert ses portes. Je vous en félicite.

Je souhaiterai savoir si il est possible de confier quelques oeuvres composé sur le champs de bataille, décrivant les êtres chers que je ne puis plus voir le matin alors que la rosée s'évapore ainsi que dans les tavernes qui me sont fermée.

Mes oeuvres ne sont point des picasso mais elles sont personnelles, cela à-t-il la palce dans votre centre.

Dans l'attente de votre reponse.

Arami

Myushi attendant la réponse de Danvile, eut son intention détournée par l'arrivée d'un messager. Se levant pour récupérer son message, il fit un signe de tête au porteur du message avant de lire le message donner. Satisfait du contenu, il s'empressa de rejoindre son bureau, pour apporter une réponse.

Citation :

Messire,
J'ai bien reçu votre message. Je suis heureux de découvrir que l'annonce de l'ouverture du centre ait atteint vos oreilles. Même si le lieu ne semble guère propice aux réjouisances...
Bref, sachez que je serais honoré de voir vos oeuvres. Picasso n'est qu'une figure parmi d'autres. De nombreuses figures restent cachées de la réputation mais n'en ont pas pour autant aucun don...
J'attends donc vos oeuvres avec hâte...

En l'attente,
Veuillez accepté mes remerciements pour ce courrier.

Myushi, directeur du centre culturel

Scelant la lettre, il se redressa et se dirigea vers le messager qui était restait dans la pièce. Et lui demanda de retourner ce message à la personne indiquée, avant de finalement revenir à Danvile et sa réponse quant à la confrérie des troubadours...

Un courssier arrive essouflé. Sous le bras, un parchemin soigneusement roulé fermé avec un cachet de cire.

A l'interieur ce cache le dessins plus un petit mot

Citation :

Voici comme promis ma vision des habitants de bourganeuf depuis le champs de bataille. Ce dessin represente ma chère amie Testie qui me manque beaucoup.

Bien a vous

Arami

Myushi qui était occupé à lire quelques dossiers, fut surpris de voir un coursier franchir le pas de son bureau. Le fixant, il attrapa le rouleau scellé qu'il lui tendait. Le remerciant, il le déscella et fixa le contenu, fortement impressionné avant de lire le mot. Satisfait, vraiment satisfait, il se mit en quête de lui répondre.

Citation :

Messire Arami,
J'ai reçu votre oeuvre et j'en suis ravi. Votre vision des habitants de Bourganeuf est fort plaisante.
Je vous annonce qu'à votre retour, vous pourrez votre oeuvre accrochée dans notre galerie.

A votre prochain retour,

Myushi, directeur du centre culturel.

Il donna le message au postier, lui donna un peu d'argent, et se leva pour quitter son bureau et rejoindre la salle d'exposition...

Le messager rentrait ici pour la troisieme fois dejà et commencait à ce demander ce qui se tramait là. Evidement il ne savait pas lire et en ce moment il le regrettait.

Une fois entré dans le bureau il pose un parchemin relié sur le bureau avant de faire demi tour.

Citation :

voila ma petite fee, normalement elle devrait se reconaitre

Myushi vit le messager lui apporter un parchemin. L'ouvrant, il vit la nouvelle oeuvre, ainsi que le mot. Attrapant sa plume, il fit une lettre de remerciement à Arami et rattrapa le pauvre messager et lui donna le message à faire transmettre.

Le message donnait :

Citation :

J'ai bien reçu votre oeuvre. Elle va être exposer avec votre autre oeuvre.
Merci de nous l'avoir fait parvenir...

Myushi

Après cela, il alla exposer la dite toile, et ce, après l'avoir encadré...

Myushi finit par arriver à son bureau. Il avait entendu au passage le poême du jeune homme. L'ayant apprécié, l'esprit satisfait, il s'installer sur sa chaise. Fixant son bureau, il nota la montagne de dossiers qui se dessait devant ses yeux. Il soupira voir grogna légèrement, songeant qu'à ce rythme il en aurait pour la journée et la nuit. Mais se sachant l'unique responsable de cela, il se contenta de prendre sa plume, puis un dossier, avant de se plonger dedans.

Il ne savait pas si quelqu'un viendrait à lui, et cela lui était égale, il préfait pour le moment rattraper son retard, même si il allait devoir sauter le repas. Et ce, au grand damne de son estomac...