poloch arrivea dans la salle, en sifflotant d un air guilleret, et remarqua les deux poemes encadres sur les murs.
Ses yeux d un vert profond se mirent a parcourir les lignes manuscrites, faites de pleins et de delies.
Il se mit a les lires silencieusement.
- et beh Raka je ne te connaissais pas comme ca ...
ouaou
poloch repartit, perdu dans ses pensees, pensant que ouais la ce serait pas si bete de se remettre a ecrire