La classe de RP

Trouvant le temps long et ayant terminé l'inventaire des instruments scolaire mis à sa disposition se résumant à une plume et quelques parchemins, Kelrak décida d'établir les règles de son enseignement. Il s'emparra donc d'une partie de son inventaire et rédigea rapidement quelques lignes.

Citation :

Informations sur le cours

Vous souhaitez améliorer votre Rp ? Vous êtes les bienvenus.
Vous voulez recevoir quelques conseils ? Entrez donc.
Vous désirez simplement vous entraîner avec nous ? Pas de soucis.
Vous avez en votre possession une bouteille de quelconque alcool ? N'hésitez pas.


Voilà comment se déroulera mon cours :

Tout le monde est le bienvenu, alors entrez sans frapper.
Si vous souhaitez participer, merci de faire une brève description, de vous et de ce que vous attendez de ce cours.
Je donnerai régulièrement un exercice que vous aurez à effectuer puis à présenter devant la classe.
J'éditerai vos posts pour vous donner des conseils en particulier, essayez d'en tenir compte... c'est le but.
Si vous avez des questions ou propositions, n'hésitez pas.
Je ne mords pas, ne grogne presque pas, et j'espère que vous serez nombreux à venir.


Kelrak.

Il afficha non sans grâce le parchemin sur un pan du mur, et retourna s'installer sur sa chaise en attente de ses futurs victi... élèves.

Danvile qui enseignait dans la salle à côté, vint s'inscrire pour ce cours des plus intéressants. Il frappa à la porte et se rappela de se qu'il avait lu, à savoir, "entrez sans frappé", déjà déstabilisé par ce premier manquement, il entra timidement.

Le regard fuyant, il fît le tour de la pièce, appercevant le vieil homme déjà connu sur le marché, assit attendant les futurs élèves. Doucement, sans faire trop de bruit, il s'approcha de l'étrange personnage et lui adressa la parole.

- Bonjour, vous êtes le professeur de RP, je crois. Je voudrais assister à votre cours, en tant qu'élève biensûr.

Surveillant chaque mouvement de l'enseignant, il posa sur le bureau un papier contenant une description de sa personne.

Citation :

Danvile

Arrivé à Bourganeuf, il y a quelque mois, je me suis intégré au village aisément grâce à certains de mes amis. La vie a suivit son cours, allant de joies en peines et vis versa. Aujourd'hui, je suis le maire et vit avec ma future épouse, un véritable bonheur...

Boulanger et cultivateur de blé, mes journées sont bien remplit, des le matin, je vaque à mes occupations et le soir venu, je retrouve ma belle pour enfin un peu de repit.

voilà, ce que je peux dire de moi.

Tranquillement et sans brusqué l'homme, il attendit une réponse à ce qui n'est en rien une question.

Des coups furent frappés, d'un regard intrigué le vieil homme scruta la porte, se demandant quel genre d'énergumène allait pénétrer. Lentement, la vieille porte glissa sur le sol et le Maire fit son apparition. Celui ci semblait soucieux, presque intimidé. Après avoir entendu sa brève présentation, Kelrak ne put s'empêcher une petite pique.

Messire, bonjour.
Merci d'être présent et de vous être présenté...
J'suis heureux de savoir que votre vie sentimentale se porte à merveille, mais j'aurais préféré connaître les raisons de votre venue, ce que vous attendez de ce cours, comme j'ai sûrement dû le noter sur ma p'tite fiche... non ?

Joignant les mains, il posa un regard malicieux sur le jeune homme. L'approbation était attendue et de rigueur, mais il ne lui laissa pas le temps de répondre et lui indiqua d'un geste dénué d'entrain qu'il pouvait aller prendre place sur un siège.

Première leçon.
Celle ci est privée, vous avez de la chance on dirait...

Deux mots importants : Rigueur et Analyse.
Pensez à prendre en considération les posts précédent dans leur globalité, c'est à dire, sans oublier quelconque point important ou non.

Ne voulant pas traumatiser son premier élève, il lui lança un sourire compréhensif.

Nous allons attendre un peu avant de commencer les exercices.
Bien que votre compagnie ne me dérange pas, j'espère que le cours se déroulera avec quelques élèves en plus.

Prenant son mal en patience, il s'adossa nonchalamment sur son fauteuil et attendit sans un bruit.

Testie arrive a la porte et voit cameligna dans l'entrebaillement de celle-ci, elle la pousse un peu a l'interieur et pénetre dans la salle, elle se trouve face à un vieil homme qu'elle salue
bonjour, je me presente, je m'apelle Testie, je suis née à Montluçon, je suis venu à Bourganeuf rejoindre mon bien aimé Rapho qui a ce jour est parti combattre l'ennemi, je travaille à la mairie, comme adjoint du maire et je suis aussi infirmiere a la caserne des pompiers........ heuu ..... j'aime la nature, la vie en général...... enfin voila, je sais plus trop quoi dire... sauf que j'aimerai bien participer à votre cours....

Elle salue Danvile et va s'asseoir au fond de la salle, se souvenant qu'elle avait encore une question à poser, elle se releve et reprend la parole

Excusez moi, un de mes amis aimerait savoir si il lui ai possible de suivre les cours par correspondance etant absent de Bourganeuf ?

la question posée elle se rasseoie et attends une eventuelle réponse.......

Testie soupira, voila, le devoir était terminé, elle avait fait du mieux qu'elle pouvait, mais si elle était là c'est qu'elle espérait progressé donc il fallait bien que le professeur sache ce qu'elle valait....

Elle allat deposer le parchemin sur le bureau de Kelrak et retourna s'asseoir à sa place

Le temps s'écoula, deux devoirs furent déposés.
Au paroxysme de la nonchalance, l'homme agrippa les parchemins et les ramena avec autant d'entrain sous ses yeux.

Lecture rapide du premier, haussement de sourcil. le second en occasionna un autre.
Lentement, il leva la tête et posa un regard sévère sur les deux jeunes demoiselles.

Raclement de gorge dénué de discrétion, il se prépara sans nul doute à prendre la parole. L'homme ouvrit la bouche, un pigeon pénétra dans la salle, la bouche fut refermée, le pigeon se posa sur son bureau, un sourcil fut de nouveau levé.

Délivrance du parchemin, réquisition d'un autre. La plume en main, trois lettres furent tracées. Le volatile apparemment heureux d'avoir une nouvelle mission battit des ailes, à moins que ce ne fusse l'expression du vieillard qui l'effraya. L'animal relaché, le regard vers les deux jeunes femmes fut reporté.

Et bien...
Je vois que le potentiel est au rendez vous.

Je ne m'attendais pas à de tels récits.
Ce petit exercie est relativement important, mais je le réduirai à présent.
Sûrement... en gardant le même principe, mais en le limitant à une seule action ou autre.

Quelques remarques négatives tout de même malgrès ce résultat vraiment positif.

Se tournant vers la jeune femme qui semblait prier plus qu'une nonne.
Cameligna...
Je tiens déjà à vous informer que je ne possède pas de faucille. clin d'oeil discret.
Quelques soucis de conjugaison j'ai l'impression...
N'oubliez pas les terminaisons en "ent" au pluriel et ... pas de "t" après un "a" au passé simple, exemple simple allongea pas de "t" à la fin.

Court silence, ayant pour objectif une meilleur assimilation des conseils.

Demoiselle Testie...
Ah l'amour ! Ivresse de la jeunesse...
Quelques petites fautes d'écriture aussi et n'abusez pas des points en fin de phrase.

Bien, vous pouvez disposer, le prochain exercice sera donné demain matin.
A moins que vous ne souhaitiez entendre mes remarques concernant le chef d'oeuvre de votre camarade Danvile... dès qu'il sera en ma possession.

Le vieil homme joignit les mains et posa son regard sur le Maire.

Suivant les courants d'air chaud, une tache noire firvolte dans le ciel. Surplombant un petit village bien agréable, elle commence une chutte rapide vers le sol.

Maintenant on peu distinguer les formes de la chose. Il ne s'agit juste que d'un faucon plongeant vers sa proie.

Sa proie!!! Un simple pigeon messagé tentant de rejoindre le destinataire de son message.

Le pigeon file droit vers le sol afin d'échapper à son funeste destin. Il vole adroitement entre les maisons. Le faucon est bientôt sur lui quand soudain, une fenêtre entre-ouverte. Le pigeon s'y précipite heurtant, de ses ailes, les montants de la lourde fenêtre, et s'écrasant lourdement sur le sol.

Un peu sonné, il se remet difficilement sur ses pattes, attandant que quelqu'un vienne le liberer de son fardeau. Le pauvre volatile est exténué, la tête basse afin de reprendre un souffle perdu da sa course folle.

A sa patte, le ruban de daim est presque défait et on peut lire les premières lignes du message:

Quelques part dans se beau pays

Bonjour,

mon nom est Arami et quelques compagnons m'ont entiché du sobriquet le sombre. Je me présente à vous

La suite n'est pas visible car le lien qui le retient n'est pas tout à fait défait. L'oiseau commence à s'agiter et perd son précieux colis. Doucement, il ouvre ses ailes et se s'envole pour rejoindre le haut de la cheminée. Sous le batement d'aile, le parchemin humide se déroule completement laissant apparaitre un petit sceau bleu, marque d'un homme se sentant seul si loin de chez lui.

en tant qu'éléve si cela est possible, j'eusse vent que les cour pouvaient avoir lieux par "correspondance" et donc me jette sur l'occasion. En effet, mes lacunes sont nombreuses:

- ortographe: le mal de beaucoup j'ai l'impression
- construction du rp
- originalité du rp

bref beaucoup de travail. Je vous sera gré de votre pbligence à m'apprendre tout cela. car j'ai soif, soif de connaissance et d'envie de participer à de fabuleuses épopé et l'on à eu la gracieuseté de me prebvenir que vous pourrier m'y aider

Arami

se courrier est destine a Sieur Kelrak, à bourganeuf. Si vous trouver se pigeon (égarer ou que sais-je) merci de lui faire parvenir.

le pigeon a retrouvé son calme, la tête enfouie sous son aile à la recherche de crasses tachant son plumage. Mais il ne fais nul doute que celui-ci est au bon endroit. Après ce bref moment d'agitation, la classe redevint calme, laissant aux personnes affairés le soin de terminer leur travail.

Caméligna reprend sa copie, y jète un coup d'oeil, voyant souligné de rouge toutes ses fautes..

PFFFFFFFF.......j'ai encore du boulot, je serai jamais prof à ce rythme là!!!!

Puis écoute attentivement le nouvel exercice...

Heureusement qu'il a pas mis le mot guimauve en plus....

Puis s'installe par terre et commence à rédiger son devoir:

Citation :

Quand les étoiles se lèvent
L'artiste comme dans un rêve
Va croquer la pomme de sa muse
Et dans un souffle sans ruse
Somnanbule jusqu'en ses bras
En y voyant plus d'éclat
Jette le fruit de son amour
En attendant le petit jour

Elle relit son travail et après un instant d'hésitation froisse le parchemin...

Hors sujet!

Elle reprend un nouveau parchemin et essaye de réfléchir....

Citation :

Au petit jour, Drek, garçon de peu d'année flannait (flânait) , tel un somnanbule, sans but dans les allées du marché quotidien. Il avait beau avoir déjeuné, la faim le tiraillait de nouveau. Sur l'étale du primeur des (de) belles pommes ne demandaient qu'a être dégustées, il en prit une et se mit à détaller (detaler) plus rapide qu'un souffle.

éh toi là bas, reviens ici l'artiste, rend moi ma pomme... VOLEUR!!! AU VOLEURRRRRRRRR

Le jeunot prenant peur, jeta la pomme qui se brisa en éclat aux pied (pieds, sauf il est unijambiste, mais dans ce cas ce serait "au") du marchand.

Caméligna était très moyennement contente d'elle mais le soleil était tellement beau dans le ciel qu'elle ne voulait pas rester enfermer ici...
Elle pose son parchemin sur le bureau du professeur et s'éclipse en faisant un grand sourire aux autres élèves.


Petit texte sympathique, attention aux petites fautes d'étourderie.
L'utilisation de "arstiste" par le vendeur de pomme qui vient de se faire voler pour désigner le jeune voleur est assez étrange.
En ce qui concerne le terme éclat, j'aurais tendance à lui mettre un "s", vu que la pomme se brise en plusieurs éclats.

Merci de citer votre devoir [quote] et non [code].

Ce n'est pas vraiment ce que j'attendais, mais le résultat est agréable à lire.

Testie ramasse sa copie et prends connaissance du nouveau devoir, comme Cameligna elle n'avait pas envie de trainer dans cette salle, elle s'installe donc à la table et commençe à rédiger son texte :

Citation :

Arrivée sous le pommier, la jeune femme regarda l'arbre, le vent, d'un souffle léger faisait bouger les feuilles (qui) laissant (ainsi) passer les rayons du soleil donnant (donnaient) un éclat particulier aux fruits suspendus.
Comme (l'utilisation de Tel serait plus judicieuse, plus de fluidité et évitant ainsi la répétition de comme à la ligne d'après) un somnanbule (somnambule), une petite chenille verte avançait sur une branche sans savoir où aller vraiment.
Elle regarda cet arbre comme un artiste regarde sa toile, corrigeant les défauts, elle (y) vit une pomme pourrie, (Ainsi/C'est pourquoi... ) elle le (la)cueilla et la jetta par terre, (celle ci, évitant la répétition du elle, qui d'ailleurs ne représente pas le même sujet pour ce "elle") elle n'avait pas sa place dans ce tableau..

Après avoir relu, son devoir, elle dépose ce dernier sur le bureau de son professeur et rejoint son amie


Evitez au maximum les répétitions et pensez à rajouter quelques mots de liaison.
Autrement texte satisfaisant, peu (presque pas) de faute.

Et l'apparition de la chenille devrait être utilisée de manière plus cohérente avec le texte.
Je ne sais pas si vous avez fait le lien chenille, pomme pourrie, si c'est cela que vous sous entendiez, bonne initiative, mais peut être pas assez appuyée.

Très bien.
Quelques petites fautes : malgré, entreprit.
A poursuivre.

Mais la prochaine fois, merci de citer votre texte comme vos amis (plus simple pour moi).

le pigeon arrive en classe alors que le delai est presque expiré.

Citation :

Il prit, avec une delicatesse inhabituelle, la pomme bien verte, lexamine pour enfin la jetter sur le sol parsemé de fleurs.
L'idée est bonne, et j'aime bien les fleurs.
En remodelant un peu la phrase ça donne ceci.
Avec une délicatesse inhabituelle il prit la pomme bien verte. (Puis) Après l'avoir/Une fois examiné (méticuleusement, consciencieusement, avec passion...), il la jette (avec force, vigueur, molesse...) sur le sol parsemé de fleurs.



L’aube se lève sur se (ce) triste lieu, celui là même (un peu lourd, je ne crois pas que "celui là même" soit indispensable) qui dans quelques heures sera imbibé de sang. Le soleil éclaire la vaste plaine, Les couleurs printanières libèrent leur éclat. Les tentes des grands hommes de cette guerre dessine sur l’horizon des forme irrégulière (s) et folles.

Un bruissement, un pas, il ne s’agit que d’un soldat, (je ne suis pas sûr que la virgule soit indispensable ici) sortit du buisson ou (où) il a trouvé refuge pour la nuit, tentant de rejoindre sa lance telle (tel) un somnambule. Le heaume reflète mille et une choses sur son métal poli. Son armure mal attaché (e) grince sous chaque inspiration de l’homme.

Je suis comme un artiste tentant de mémoriser ce tableau qui ne sera plus après ce jour funeste. Mais serais-je toujours là pour m’en souvenir, là est peut-être la question ! (j'aurais plutôt tendance à voir des ... à la place du ! cela donnerai au lecteur une possibilité d'imaginer, de poursuivre la pensée, alors que le ! introduit une affirmation et donc en quelque sorte une limite.)

Et j'espère que la réponse sera oui.
Très joli texte.
Quelques petites fautes, mais rien de bien méchant.

j'espere que ceci repond au sujet de l'exercice

Oui.

Danvile vint déposer le devoir très en retard, espétant ne pas se faire incendier par le professeur. Le vieil homme, rochon de nature risquait de ne pas laisser ce nouveau retard.

Citation :

Une jeune femme, seule dans les allées étrangement désertes du marché. Sa robe trainait sur le sol, la poussière des pavés venait noircir le satin blanc.

Bruits de bottes...

Deux hommes arrivent en courant, le premier, fort et vigoureux, passa derrière l'allée où des fruits de la veille restent à la portée des animaux affâmés trainant dans les rues à la recherche de nourriture durant la nuit, le seconde vint directement dans sa direction, plus frêle que son compagnon, il était malrasé et sentait mauvais. Quand il fût arrivé à quelques pas de la demoiselle, il s'arréta brusquement, jetta un coup d'oeil vers son collègue et regarda la jeune fille apeurée.

Un petit sourire se fige sur son visage quand son regard descend le long de la robe blanche et échancrée. Prise de panique, la frêle donzelle, lui balança un coup de pied où nul homme ne voudrait en recevoir un, impact gagnante, l'homme tomba comme une masse sur le sol, gémissant et bredouillant quelques mots incompréhensibles.

- Qu'à tu fais! S'exclama l'autre individu.

Le regard noir et l'air furieux, il continuait à faire le tour de l'étale s'approchant dangeureusement...

- Que faire, comment s'en débarasser? Se demanda la jeune fille.

Rien ni personne pour l'aider, les rues désertes de la ville n'offraient aucune protection, elle chercha rapidement un objet pour se défendre. Il traianait des pommes invendues sur l'étale, elle en saisit une, l'odeur du fruit commençait à remonter jusqu'à ses narines, amêre et nauséhabonde, elle lui donnait envie de la relacherde suite, mais c'était sa seule défense contre un adversaire bien plus fort qu'elle.

Fixant l'homme du regard, elle fît abstraction de la mauvaise odeur et se concentra pour ne pas rater sa cible. Lent mais toujours en mouvement, il n'était pas facile de toucher l'horrible personnage qui lui voulait certainement pas que du bien.

Elle tendit le bras en arrière, ferma un oeil comme pour viser avec un arc et fît un mouvement de balancier pour lancer son projectile...

- Touché! S'échappa de la bouche de la pauvre enfant.

La pomme avait terminé sa course sur le nez de l'homme, s'éclatant en une purée malodorante sur tout son visage. elle profita du peu de temps que l'individu passa à essuyer cette immondisse de son visage, pour s'enfuir en courant vers une taverne non loin se mettre à l'abrit.

Ayant terminé son premier exercice, il se plongea dans le second.


Messire j'apprécie votre effort, votre texte étant bien articulé.
Mais je ne demandais que d'enrichir la phrase.
On pouvait bien sûr (et c'est ce qui était attendu) rajouter quelques éléments extérieur en plus des précisions concernant l'action, mais pas toute une histoire.

Caméligna avait attendu la nuit pour venir récupérer discrètement son devoir.

Elle lut les anotations avec attention. Et les fautes d'orthographes lui firent monter le rouge aux joues...décidément cette bête "orthographe" ne pouvait donc pas se terrer au fond de sa grotte et lui foutre la paix....

Puis lisant le dernier commentaire:

"Ce n'est pas vraiment ce que j'attendais, mais le résultat est agréable à lire."

Pas ce qu'il attendait? pas ce qu'il attendait? comment ça? ....elle relut les consignes donnés:

ben j'ai utiliser tous les mots!

Elle s'assied sur le bord de la cheminée et se demande pourquoi elle arrive jamais à faire ce que l'on attend d'elle.

Les méninges en effervescence, se grattant la tête, une idée lui vint soudain.

Citation :

Sortar, jeune artiste somnambule de l'est, faisait route vers l'Eldorado de l'ouest, il pensait trouver richesse et prospérité au bord de la mer. La nuit était son moment favoit (favori) , la tranquilité qu'elle offrait lui permettait d'avoir de lumineuses idées.

Sur le chemin, une charette faisait route dans le sens inverse, un homme à l'air blafard siégait tristement sur le rebord de celle-ci.

- Que t'arrives t-il, l'inconu. Sortar dit-il à l'homme. (demanda Sortar à l'homme)

- Oh... Jeune homme, ne vas pas chercher le bonheur où tu pourrais trouver la richesse, l'amour et l'argent ne font pas bon ménage. Dit le vieillard au souffle court.

- Pas d'amour. Pensa t-il. (Si c'est une pensée, pourquoi mettre un tiret signalant le dialogue ? Une petite phrase aurait eu plus sa place : Aux paroles de l'homme, Sortar se dit qu'il n'avait pas encore rencontré l'amour (tant attendu, et tant mieux, (mal)heureusement...)

- Dites m'en plus, vous ne pouvez faire voler en éclats mes rêves sans vous expiquer (expliquer) . Dit le jeune homme incrédule de ce qu'il avait entendu (venait d'entendre, entendait) .

- Tu verras, tu verras... Marmona le vieil homme avant de disparaitre derrière un bosquet.

Danvile rendit son second devoir, content d'avoir terminé pour cette journée de cours.


Je reste un peu sur ma faim...
A coté de ceci, il me semble que le terme somnambule n'est pas approprié, attention à ne pas le confondre avec funambule.

Myushi avait fini de s'installer. Il avait prit ses nouvelles fonctions, et c'était habitué à certains faits personnels de sa vie. Le moment était venu de se mêler aux autres et s'intégrer à cette communauté qu'était la sienne. Et prendre des cours lui paru la meilleure solution...

Ce fut donc dans cet optique qu'il se rendit dans la classe de RP. Après avoir bien lui les règles, il commença, comme demandé, sa brève présentation... Avant d'entrer dans la pièce. Il entra ensuite et se dirigea vers le bureau pour donner la dite présentation. Enfin, avant cela, il prit la parole, question de respect, et ce, malgré cette froideur habituelle qui émanait de lui.

- Bonjour professeur ! Désolé d'arriver si tard, mais j'aimerais m'intégrer à votre cours. "

Ces mots terminés, il donna le parchemin écrit un peu plus tôt.

Citation :

Myushi

Arrivé il y a un certain nombre de mois, j'ai pu m'intégré grâce à mon parrain qui m'a guidé avec brio et quelques amis. Simple de vie, je connais joies comme malheurs. Comme tout à chacun... Poète dans mon coeur, je me réfugie la plus part du temps dans mes écrits...

Aujourd'hui, je suis simple cultivateur de blé et charpentier. Ce qui rempli avec aisance mes journées. Je passe aussi un peu en auberge, rencontrant mes voisins pour rire, sourire... partager des avis ou tout simplement boire un verre. Evitant toute noyade inconsidéré...

Je suis à présent le directeur du centre culturel, fonction s'ajoutant à mes autres occupations...

Voilà ce que je peux dire sur moi. Tout du moins, dans les grandes lignes !

Puis simplement, il patienta, attendant la suite des évènements...

Trolanne entra dans la salle
mais c'est un cours de vieux ici bon c'est pas grave je viens quand meme

Citation :

Trolanne
habite pres de la riviere avec sa maman
pas tres ancree a la communaute
tres bavarde et tres sociable
un peu fofolle!!!

Gladriel arrive dans la classe...Personne...Elle dépose un mot sur le bureau qui trône la pièce.

Citation :

M. le Proffesseur,

Je me nomme Gladriel et j'aimerais participer à vos cours. Je pense qu'ils m'aideront à "faire la paix" avec l'orthographe et me permettrons d'améliorer mon RP. Je ne cherche pas quelqu'un qui me dicte comment écrire mais une personne qui pourrait me conseiller, et un avis "qualifié" m'aiderais bien.

Pour me présenté en quelque mot je suis née à Bourganeuf mais je suis partie de cette merveilleuse ville à mes 10 et n'y suis revenut qu'à mes 17 ans. Depuis, je vis dans cette charmante ville accompagné d'Arami.
Je ne suis que paysanne, cultivatrice de maïs mais je suis aussi une amoureuse de la nature et de la poésie aimant les longs récits et les légendes.

J'espère que cette petite description suffit mais je suis prète, si vous le désirez, à donner de plus ample détails.

Avec mes respects,
Gladriel