La classe de RP

Raclement de gorge ne cherchant pas à être discret. Kelrak indiqua d'un signe de tête les chaises, probablement pour leur signaler qu'ils pouvaient prendre place. Lecture rapide des bouts de papiers. Un fugace sourire parcouru les lèvres de l'homme.

Jeunes gens, bonjour et bienvenue.

Vous avez de la chance.
Vous tombez juste au moment où j'allai donner les prochains exercices.


Ainsi donc, l'action à enrichir sera la suivante.
Sauter par dessus... (à vous de voir par dessus quoi)

Quant à l'exercice ce sera celui ci.
"Vous pénétrez dans une batisse qui semble être déserte..."
Merci de me conter la première minute après avoir franchi le seuil de la porte.

Et n'oubliez pas.
Un récit court et captivant vaut bien mieux qu'une longue histoire manquant d'intêret.

Je ne suis pas là pour vous enseigner à faire un RP modèle.
Je suis là pour que vous enrichissiez, améliorez votre RP.
Je vous fournirai diverses situations pour cela, et corrigerai les fautes d'orthographe au passage...
Alors... à vous de jouer.
Trouvez votre style et prenez du plaisir.

Le rêve n'attend pas, mais moi si... vous avez jusqu'à mardi soir.

Claquement de doigts signalant le départ... l'homme s'emparra prestement de deux pigeons mis généreusement à sa disposition après une demande plutôt virulente. D'une écriture rapide il inscrivit les devoirs qu'auront les deux soldats à rendre pour mardi soir au plus tard. Puis, dans un virvoltement de plumes, les volatiles s'envolèrent dans le ciel et le vieux Kelrak dans ses songes.

Myushi, il devait bien l’avouer, fut fortement surpris par le comportement du professeur. Clair, direct… Le genre de réactions qui chassaient sa perplexité naturelle. Rejoignant donc une chaise, sans prononcer mots, s'installant ensuite, il releva son regard sombre vers l’homme et écouta ce que ce dernier avait à lui dire. Il nota mentalement l’exercice, même s’il resta assez confus devant l’étape. Et il comprit. L’action à accomplir… Lutter contre cette façon d’agir devant les autres. Cette facilité à se fermer à la moindre contrariété. Le brun se demanda bien comment l’écriture pourrait bien l’aider quand soudain ses poèmes s’imposèrent à lui, lui rappelant que l’écriture ouvre beaucoup de porte. Satisfait de cela, il se mit immédiatement à l’œuvre.

L’idée était présent, restait à la mettre en forme…

Citation :

Mes pas m’avaient conduit ici. Le soir était là. Le soleil disparaissait derrière l’horizon, me dévoilant avec étrangeté, une bâtisse. Plein de curiosité, surtout intrigué par la conception très ancienne du bâtiment, je poussai la porte, et entrai…
Là… le premier sentiment qui me vint fut stupeur, tellement dans ma réaction, je restai figé. Je n’osai pas bouger. Faire un pas ? Rompre ce silence si serein. Je ne le voulais pas. Non pas que cet endroit était un loin (lieu) sacré ou autre. Non… Mais il régnait une telle atmosphère. Les rayons du soleil mourrant éclairaient une tapisserie qui éveillait encore plus cette impression de mystère… Cependant, cela attisait également mon intérêt.
Je fis alors un pas, puis m’arrêtai.

Avais-je le droit d’entrer ? Voilà la question que je me posai…

Une réflexion (m’)alors m’envahit… Une, deux, trois […] dix… Oui, dix mouvements d’une pendule, marquant un curieux rythme, me sortirent de cette réflexion. Une horloge dans ce lieu abandonné continuait de battre le temps. Émoustillant encore plus cette curiosité qui siégeait au fond de moi, la question du droit ou pas passa bien loin de mes pensées pour aller se faire oublier dans un coin de ma tête, je fis un autre pas. C’était si simple d’avancer à présent quand plus aucunes questions ne venaient vous arrêter… Le pas fut suivi d’autres pas, je me retrouvai alors devant une porte. Je venais de franchir toute la pièce sans même m’en rendre compte… Je la fixai alors la porte (je la fixai alors... ou... je fixai alors la porte...) et me surpris à hésiter.

Continuer ou pas ? Ce fut le bruit de l’horloge, qui encore, répondit à mon interrogation, soulignant également une nouvelle heure… La poignée fut alors tournée, et j’entrai dans la pièce déroutante, déjà trente secondes étaient passées…

Comme le temps passe étrangement ! Me dis-je en entrant dans la pièce et découvrant un nouveau décor…

Myushi se relut, se demandant s’il n’avait pas fait de hors sujet. Espérant que non, pas vraiment certain de lui, il se leva et tendit son parchemin au professeur. Il ne montra pas son appréhension, gardant cette rigidité qui faisait son caractère…

Très joli texte, pas de faute d'orthographe, juste d'inatention.
Malgrès le fait que les premières trente secondes soient bien plus garnies que les trente dernières, le charme réside.

Il manque la petite phrase qu'il faut enrichir et qui n'est pas à integrer dans le texte.

Caméligna soupire...elle allait faire de son mieux mais aujourd'hui elle ne se sentait pas sur d'elle, une nouvelle crise d'angoisse allait de nouveau la submerger...les rêves étaient de retour et avec eux leurs lots de questions dérangeante et sans réponse.
Elle prend un parchemin, afûte sa plume et la trempe d'ans l'encre...

Citation :

Je divaguais sur le chemin de mes souvenirs. Assise sur une chaise je retraversais mille et une images déjà vues, je sentait (sentais) mille et une odeurs déjà sentis.
Sur le chemin de ces souvenirs j'arrivais à la vieille demeure de mon enfance, elle était comme il y a longtemps, j'approchais sans crainte, elle faisait partie de ma vie, j'avais fait partie de la sienne. Comme l'enfant que je n'étais plus je sautait (sautais) par dessus le seuil. A ce moment là s'égrennèrent (s'engrenèrent) les lentes secondes, le tic tac oppressant, 60,59,58,57,56.....
Les souvenirs s'envolaient, la batisse se délabrait ...45,44,43...
les regrets me submergeaient ...32,31,30...
Qu'avais je accomplis durant mon existence?...27,26,25... Mon coeur s'accélérait, il ne restait plus que quelques secondes et après?...13,12,11...qui avait-il après la dernière, et si il n'y avait plus rien? ...8,7,6...
Assise sur cette chaise j'attendait (attendais) depuis très (trop ?)longtemps l'arrivée de ses (ces) derniers instants qui pourtant ne venaient jamais.

Texte original qui emporte le lecteur.
Toujours quelques fautes de conjugaison.
Mais attention, la batisse dont je parlais était plus réelle que fictive tout comme l'action (pas en souvenir).

Merci de ne pas intégrer la petite phrase à enrichir dans le texte en lui même mais de la mettre à part.

Azelie arriva devant la salle de messire Kelrak, elle rentra en frappant.

« Bonjour messire, je me suis inscrite à vos cours au retour de ma retraite, je suis enchantée de vous revoir, peut être voudriez vous un peu plus de renseignements sur moi-même, je possède deux champs de légumes, un moulin où je transforme blé en farine et ceci depuis plusieurs générations, mon père faisait de même et mes aïeux aussi. Je suis journaliste débutante et j’enseigne comme vous, mais la botanique. Voila je pense que c’est a peu près tous ce que vous pouvez savoir sur moi, en ce qui concerne mon caractère je vous laisserais le soin de le découvrir »

Il hocha la tête, et lui désigna une place au fond de la classe, il avait devant lui une liasse de copies à corriger et apparemment ne souhaitais pas être dérangé, les autres élèves avaient à peine lever la tête à son arrivé tous escrimaient sur leur parchemin.

Elle s’installa sortie sa plume, lu le sujet du devoir et se mit a réfléchir le nez levé, son attention se porta sur une mouche qui voltigeait dans la salle.

Testie lu le nouveau devoir, bon fallait réfléchir, elle prit sa plume et commença à écrire, regardant de temps en temps le plafond comme pour chercher l'inspiration

Citation :

La fin d'une triste journée d'hiver, le vent dans les branches, le froid persant, il fallait continuer, passer outre cette peur qui me tenaillait le ventre, je devais entrer et enfin voir ce qu'il y avait derrière cette porte, combattre les peurs de mon enfance, sauter le pas, aller plus loin.

Me voilà immobile devant cette pièce, une main tremblante sur la poignèe, j'ouvre.......

La peur me saisie, le rythme de mon coeur s'accélère, en l'espace d'une minute mon enfance défile devant moi, les angoisses ressenties reviennent à mon esprit comme un cheval au galop, des gouttes de sueur perlent sur mon frond (front), cette sensation d'effroi à la proximité de cette porte......

J'avais tant de fois pensé à ce qu'il y avait derrière, mon imagination d'enfant n'avait fait que rendre encore plus mystérieuse cette chambre interdite par ma mère.

Je me trouvais maintenant devant cette pièce si souvent imaginée, mes yeux découvrais avec stupeur qu'il ne s'agissait que d'une chambre d'enfant, laissée à l'oubli comme un livre inachevé.

Je refermais la porte, pas plus d'une minute c'était écoulée, mais elle m'avait paru durer beaucoup plus, les questions tournaient dans ma tête, questions qui resteraient à jamais sans réponse.

Son devoir terminé, elle le posa sur le bureau de son professeur et prit congé.

Effort sur l'orthographe très appréciable.
Texte sympathique mais à la limite du hors sujet (si ce n'en est pas un...).
J'avais précisé il me semble, la première minute "une fois le seuil franchit", et là j'ai comme l'impression que vous êtes resté sur le seuil...

Sinon, même remarque que votre ami... la petite phrase (action) à enrichir n'est pas à mettre dans le texte, c'est un entraînement à part.

Azelie avait eu beaucoup de peine à faire sa première rédaction, elle avait trituré ses meninges dans tous les sens, mais n'était pas fier de son résultat.

Citation :

Lylybelle avait reçu une missive, lui indiquant qu’elle devait se rendre au plus vite, sur la route de la Treimolle dans la vieille grange abandonnée. Elle arriva d’un pas vif mais mal assuré, une brindille craqua sous ses pieds, elle poussa la porte qui grinça.

Elle resta entre l’entrebâillement de la porte et examina l’intérieur, son cœur battait la chamade, il y avait des recoins sombres peu engageants, un gros tas de paille remplissait la pièce, une énorme roue de bois était posée à son coté. La lumière filtrait par un œil de bœuf, des grains de poussières (poussière) semblaient danser dans l’air.

Elle tendit l’oreille car un bruit venait de ce produire. Soudain elle aperçu une ombre sauter par-dessus la roue qui se dirigeais (dirigeait) droit vers elle. De surprise, elle cria et partie en courant, soudain elle sentis (sentit) deux mains lui saisir les épaules et la tirer vers l’arrière. Un rire résonna au creux de son oreille, elle reconnu celui de son amoureux, elle se retourna soulagée, elle ne savait si elle devait l’embrasser ou le taper.

Elle partie soucieuse, pensant etre complement hors sujet.

Intrigue sympathique.

Même remarque que les autres demoiselles.
La petite phrase à enrichir n'est pas à intégrer dans cet exercice.

Gladriel était assise sur sa chaise...Le proffesseur lui avait parut froid au premier abord mais il lui parut être un bon proffesseur.

Elle écouta ces consignes et mit un bon bout de temps avant de comprendre à peu pres ce qu'il voulait. Elle sortit sa plume et fit travailler sa tête.

Citation :

La bête traquée sans relâche (ou "Sans relâche la bête est traquée) , la mort galopant derrière elle, dans un élan d'espoir elle saute par dessus le précipice qui la sépare de l'autre rive verte (je ne suis pas sûr que cette précision "verte" soit importante) et loin du mal, celle qui lui promet la vie.

Merci d'avoir séparé cet exercice de l'autre.

**

Le jour s'était couché ayant abandonné (, en abandonnant) la terre dans le silence et l'obscurité...La nuit profonde engloutissait la nature; elle n'était pas morte, seulement endormie (,) attendant que le soleil du petit matin vienne la tirer de son sommeil.

Le vent fraid (frais) guide mes pas, me poussant en avant vers se (ce) que j'ais (j'ai) toujours renié. Je marche, silencieuse, j'ais (j'ai) froid mais la sueur recouvre mon front. J'arrive, enfin, devant la petite batisse...J'ais (j'ai) froid...J'ais (j'ai) peur...Un sentiment trop connut, celui qui empêche de courrir quand il faudrait sauver sa peau, celui qui fait fuir quand il faudrait affronter le danger.

Le mur de bois se dessine précisement devant mes yeux. Il me pousse ce vent, devant une porte, la porte que je ne veux pas ouvrir. Je regarde la poigné(e) ...Je ne veux pas...Je ne veux pas revivre tout çà. Il faut vivre le présent mais aller de l'avant. Mais on ne fuit pas le passé, il nous rattrappe toujours. Je pose, malgres moi, ma main tremblant(e) sur la poigné(e) ...je ne veux pas...Mais pourtant...

Si c'est (ce n'est pas) pas maintenant ce sera après. Alors ce sera maintenant. Je suis prète à me prendre une claque du destin.

Je tourne la poigné(e) ...

J'ouvre la porte...

Le noir m'envahi (envahit) ...

Plus rien ne vit à l'interieur. Le vent ne s'engouffra (s'engouffre, restons au présent s'il vous plait) pas dans la pièce silencieuse. Mon souffle se coupe...Trop de chose(s) me vienne(nt) en tête. Je ne lève pas les yeux, le regard dans le noir sert il a (à) quelque chose? L'atmosphère qui se dégage de cet endroit me glaçe le sang. Mon coeur ne s'accélère pas, il cesse presque de battre (,) paralisé par se sentiment si fort. Le silence le plus total, l'air humide, une odeur de sang...La batisse (bâtisse) semble vide, mais elle ne l'aie (est) pas, je le sais, je le sens...paralisé (si vous parlez du coeur ce que je doute, l'orthographe est bonne, sinon c'est paralisée) tout simplement.
Mon regard n'était attiré que par le fourreau de l'épée qui reflétait le fin fil de lumière qui pernètrait (pénétrait) dans la pièce ténébreuse. Le passé était devant moi, le destin était devant moi...Voir la vérité en face...C'est ce que je veux. (pourquoi passe-t-on au passé ?)

J'hésite...Je fais ce qu'il ne faut pas...Mais enfin je me décide.

Je lève la tête et plonge mon regard dans les yeux de la femme tapit dans le noir (l'ombre).

Gladriel relut son devoir et tenta de voir ce qu'il y avait à amméliorer. Elle jetta un coup d'oeil à son brouillon à côté d'elle puis elle relut denouveau son écrit. Elle grimaça en s'imaginant à toutes les remarques que pourrait lui faire son proffesseur. Puis elle soupira, ce leva et donna son travail à la personne concerné.


Pas mal de fautes d'orthographe qui devraient être facilement éliminées avec une bonne relecture.
La chute est interessante.
Récit trop long. (d'un coté...)

Gladriel relut sa copie...Entre elle est l'orthographe c'était la guerre! Une guerre redoutable où l'orthographe gagnais toujours...Mais bon elle était là pour s'améliorer!

Elle vit Ferdy entrer et écouta les instructions du proffesseur, et se mit de suite au travail.

Myushi se frappa mentalement en voyant les fautes d’étourderies de sa copie qu'il venait de récupérer. Non mais quel idiot. Il songea qu’il devait mieux se relire à l’avenir. Il fut aussi perplexe quand au premier sujet. Il n’avait pas compris et donc, ne s’était pas rendu compte de son oubli. Cependant, après avoir eut des explications, le brun se promit de faire mieux. Et voilà justement l’occasion de le faire, car justement, un nouvel exercice venait d’être annoncé. Ecoutant avec sérieux ce qu’il fallait faire, Myushi prit sa plume, et le sujet aussitôt compris, il se mit à la réalisation du travail…

Il commença par l’action à enrichir…

Citation :

Le feu crépitait tellement que des morceaux de suie encore rouge furent projetés en dehors du foyer. L’homme qui vit cela s’empressa de ramasser les fuyards. Le geste lui valut de se brûler. Il secoua la main et rejeta l’objet sous le coup de la douleur…

Ayant finit le premier son premier exercice, il passa au sujet principal. Il prit une minute pour réfléchir au sujet. Puis, une fois sa muse de nouveau en visite, il se lança dans le récit demandé…

Citation :

Depuis combien de temps je cours ? Une, deux… Cinq minutes ? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Mais mon souffle commence à se faire court. Je suffoque presque. J’en viens à me demander si ma fuite était une bonne idée. Ma journée avait commencé pourtant normalement… Ce matin était comme tous les autres matins. Je mettais levé, baigné, habillé. J’avais même pris un morceau de pain avec mon café. Chose que je ne fais jamais normalement. Et le temps d’aller travailler était venu. Je quittai mon appartement pour rejoindre ma voiture…

Je crois que c’est à ce moment là que les choses basculèrent. J’aurais du prendre ma voiture mais… Mais j’en avais décidé autrement. Il faisait beau. Je voulais profiter de cela et pour une fois, me rendre au bureau à pied. Ce que je fis. Mes pas étaient calmes. Mon rythme était parfait. Je me disais que je ferais bien ainsi tous les matins quand soudain une scène… cette scène s’imposa à moi…

Mais pourquoi n’ai-je pas pris ma voiture ? Des pas… J’entends des pas… Je dois continuer. Mais je n’en peux plus. Ai-je le droit d’abandonner ? Non… Impossible. J’ai promis. Je dois courir. Mais pourquoi me suis-je montrer curieux. J’aurais dû continuer d’avancer en ligne droite. Sur le trottoir qui me conduisait à mon bureau. Mais non, un bruit m’avait attiré. Une discussion agitée entre deux hommes. Je m’étais à peine approché que je vis un des hommes tomber à terre, la main posée sur son flanc en sang. Horrifié, je restai comme figé. Je ne réalisai pas que le meurtrier était encore là. Je ne voyais que le blessé. Il fallait que je m’approche. Que je l’aide… Et je le fis, bougeant enfin et sortant de son effroi.

A ce moment là, j’aurais du fuir. Partir. Peut-être que je serais dans mon bureau en ce moment. L’esprit pas vraiment tranquille, mais au moins loin de ce danger… loin de cette course effrénée. Mais je n’ai pas fuit. Je me suis approché. Et le message maudit me fut donné. Je voulais simplement vérifier son état de santé. Venir en son aide. Au lieu de cela, des mots : « Prenez ça ! Par pitié… donnez-le à la police… »… Un papier mit dans ma main…Un mort… De la peur… Et un ennemi. Je réalisai tout juste ce qui se passait qu’un inconnu m’agressa. Un seul coup me permit de comprendre que j’étais en danger…

Je ne sais plus comment je lui ai échappé. De la chance… ou alors autre chose. N’était-ce pas mieux reculer pour mieux souffrir ? Je ne le sais pas. Mais depuis, je cours. Je continue de courir. Je ne peux pas m’arrêter…Mais je n’en peux plus… C’est si dur… Trop dur. Pourtant… Oui pourtant… je dois fuir…

Je vois une ruelle…
Je m’y engouffre…
Mais je ne vois rien…
J’en peux plus…
A l’aide…
Que quelqu’un m’aide…
On veut me tuer….

« A l’aide !!! » M’écriai-je en comprenant que les pas étaient juste derrière moi. « A l’aide… Par pitié ! Que quelqu’un m’aide… »

Une chute… Un cri… le silence…
La fuite est coupée… un corps est tombé…
Un papier siège non loin du corps, se nourrissant du sang… S’imbibant pour finalement s’effacer balayé par un vent joueur…

Myushi releva sa plume et se relit. Pas vraiment satisfait – il ne l’était jamais de toute façon – il finit par donner au professeur son écrit. Il se permit enfin de souffler, avant de se masser le poigné, impressionné d’avoir autant écrit en si peu de temps. Espérant ne pas avoir fait de hors sujet, il patient ta simplement…

Testie ramassa sa copie, "limite du hors sujet", faut dire qu'elle s'en doutait, le sujet ne l'avait pas du tout inspiré, mais elle ne se découragea pas elle ferait mieux la fois prochaine, du moins elle essaierai

Après un moment de reflechion a sa table elle rendi son premier devoir

Citation :

La jeune femme pétrifiée par le froid, s'approche de la cheminée et se décide à allumer un feu.
Les bûches disposées, elle ravive les braises encore fumantes, le feu prends enflammant le bois qui crépite. voulant remettre une buche en place elle approche un peu trop sa main, sent la chaleur du feu qui lui brûle les chairs, d'un geste vif elle retire son bras.

Le pigeon, plane doucement dans le ciel, il a prit son temps s'arretant en chemin et oubliant le message qu'il porte. Les hommes peuvent bien attendre quelques peu, car ici il y a de belles demoiselles au plumage gris. Deux jour qu'il est la et c'est le plus beau des mondes. Si seulement allez chercher sa nourriture n'était pas aussi difficile. Il décide donc de reprendre le chemin qu'il commençais a conaitre. Le retour est toujour le plus compliquer car si l'école ne bouge pas, l'homme lui n'arrete pas de changer de place.

Avec seulement un bon jour de retard, il arrive enfin. Son message n'est autre qu'un devoir.

Citation :

Voici le premier exercice:

Le soleil pointe à l'horizon, les charognards sautent par dessus les corps des nombreux soldat afin de quérire les meilleur morceaux, pendant que les vivants essayent d'oublier.

Voici le deuxième:

Le premier pas fait râler le plancher, ainsi que le secondet tous ceux qui suivront. Dans la pénombre, les quelques rayon de soleil passant par la porte ouverte jouent leur danse folle sur les murs sale. On lui as dit que là dernière fois qu'on avait apreçu son homme, il rentrait dans cette maison, il y a plus de trois mois.
Ses yeux balayent la pièce. Il n'y a aucune trace de vie et un étrange silence règne dans la pièce. Tout semble parfaitement rangé, et pourtant les meubles sont couverts de poussières. Sur un bord de la cheminée, une gravure. Alors qu'il l a tient presque, la porte se referme, des pas et un bruit sourd.

L'homme s'écroule comme une pierre.

Pourquoi? Pourquoi? murmure't il avant de sombrer dans le néant de l'inconcience.

J'espère que ce sujet est le bon, pardonner ces idées noires mais la guerre et les massacres qu'elle engendre ne vous laisse point le sommeil tranquille.

Le pigeon, après avoir délivré son message attend sa ripaille prêt de la cheminée.

Un pigeon à l'allure désorienté s'étalla de tout son long sur le bureau du professeur

Citation :

Citation :

Bonjour messire Kelrak

Je vous envoit mes devoirs par la voie des airs.

PS: il y a aussi dans l'envelloppe quelques petit pois pour Alambic, Alambic c'est le pigeon. Vous pouvez le garder et me renvoyer les prochains devoir par lui. Il est un peu vieux et sénile mais bon, je l'aime bien!

Travailleusement
Caméligna

Premier exercice: (j'ai enfin compris le système mais c'est une phrase ou plusieurs?)

Tel Icare volant vers l'astre solaire, le papillon de nuit se brûle les ailes en espèrant trouver le bonheur dans la chaleur et la lumière.


Deuxième exercice:

Dans le calme matin, à découvert au milieu d'une clairière, Je suis là, fièr, debout, regardant de toute ma domination mon royaume, mes terres, ma forêt.

Un bruit...

Je tourne la tête, le corp en alerte, recule de deux pas.

Le bruit s'amplifie: l'air s'emplit de bruits térrifiants, de râles inconnus, la terre résonne comme martelé par des chutes de pierres.

Bandant un a un tous mes muscles, je m'élance vers les fourrés, les sens en éveils, le coeur s'accélérant aux rythmes du sang circulant dans mes veines.

Je ne ne vois que devant moi, je n'entends que derrière moi, je sais qu'il me faut fuir mais je ne sais pas quoi, je sais qu'il y a danger mais je ne sais pourquoi.

Je saute, dérape dans les ornières boueuses, galope toujours plus loin.
Mon souffle opresse ma poitrine.
Dérrière moi, déjà je sens l'haleine de mes poursuivants. L'affolement me gagne, les bruits résonnent sous mon crâne. Je change une nouvelle fois de direction.

Je ne le vois pas venir, je sens juste des crocs s'enfoncer dans ma croupe et des griffes lacérer mes flancs.
Je tente vainement de donner des coups de bois que déjà mes assaillants arrivent en nombre m'éccorchant les chairs, faisant couler mon sang.
Je suis à terre, je souffre et je ne sais toujours pas pourquoi. Les bêtes ont laché prise.

Une créature s'approche me fixant du regard, je tente de me dresser mais n'y arrive pas.
Je me débat seul dans mon corp qui ne m'obéït plus. Il est prés de moi, je le regarde, je ne voit pas l'objet s'abattre, je sens juste une douleur dans mon poitrail

Testie s'était un peu plus cassé la tête essayant de ne pas faire de hors sujet cette fois, elle déposa son devoir sur le bureau du professeur après l'avoir relu plusieurs fois

Citation :

Il était parti claquantla porte, laissant son passé derrière lui et ne regardant que vers l'avenir...

Je l'avais laissé s'échapper, j'étais restée assise par terre ne sachant que faire, les heures s'étaient écoulées me laissant dans le doute, que faire?
Puis la réalité c'était imposée à moi il fallait que je le retrouve avant qu'il ne soit trop tard.

Je m'étais élancée dans les ruelles du village, ne sachant par où chercher, courrant à perdre haleine pour le retrouver, mon coeur battait dans ma poitrine avec une force si intense que j'avais l'impression qu'il allait en sortir, je courrais regardant dans tout les sens et dans tous les recoins, j'entrais dans les tavernes voir si je ne le voyais pas, où chercher ? Je n'en n'avais vraiment aucune idée ......

Je continuais d'explorer toutes les alentours du village, courrant toujours.... les heures s'égrainaient et diminuaient un peu plus les chances de le retrouver, il ne fallait pas abandonner, chercher toujours et toujours ne pas désespérer, avait il quitté la ville ? Sûrement.

Je m'élançais vers le seul chemin possible, la forêt ...

Courrant toujours, les branches fouettaient mes jambes, ignorant la douleur, j'avançais encore et encore, cherchant une trace pouvant m'indiquer son passage et puis soudain au détour d'un chemin, je le vis devant moi, je l'appelai, il se retourna, je l'avais rattrapé à moi maintenant de ne plus le laisser repartir.

ne sachant quoi penser de son devoir elle sorti de classe, un peu inquiète du résultat

Au bout d'un certain moment la jeune femme avait réussi à faire sortir quelque chose de sa plume.

Citation :

Le jeune garçon d'écurie sursauta à l'entente d'un bruit inconnu. Pétrifié, sans quitter des yeux le lieu de la source du bruit, il chercha de sa main droite son baton sur la table à côté de lui. Quand il croit s'en saissir, il ressert sa main. Un cri de douleur lui arrache la gorge. Il frotte sa main brûlée:ce n'était pas le baton mais simplement la bougie.

***

Le souffle court, la coeur battant trop vite, les jambes ne suivant plus, je vois le sol défiler devant moi.
Je les entends derrière, hurler leur injures, crâchant leur mots durs et je l'entends devant me crier d'avancer.

_Plus vite Gladriel!

Je n'arrive pas à suivre, je ne vois pas aussi bien qu'elle dans le noir...La nuit obscure m'entourne, elle, elle court comme si la lumière éclairait son chemin.
Mes tympans vont éclater, mes poumons vont exploser. L'air me manque mais mon souffle me déchire la gorge. Mes jambes me brûlent, autant à cause des coups que de la course.
La guerrière devant moi saute par dessus les racines avec agilité, évite les branches avec souplesse.

Mais elle, c'est la racines de trop...Je saute, mes pieds percutent de plein fouet le bois...

Je tombe...

Alors je croit ma fin arriver, tout défile devant mes yeux. Je les entends arriver...Mais elle fait demis-tour et me relève.

_Aller Gladriel!!Encore un effort!!

Elle me tire par la main avec une vitesse allussinante. Ma robe s'accroche au branches basses, laissant encore plus de traces pour les hommes derrière...
Je la suis pourtant. Les bruit de nos pas térrifiés résonne sur le sol endormi.

Et eux ils hurlent, ils ne nous lâcheront pas...

Un cri s'échappe de ma gorge, une branche vient de me fouetter violement le visage. Mais je en m'arrête pas, je ne dois pas...C'est soit je cours, soit je meurs...

Ma poitrine se lève et descend à une vitesse folle...Le rythme en est stressant.

Mais j'y crois...mais pourant.

Un bruit déchire l'air, une flèche fonça à travers les arbres et se fige dans la cuisse de ma compagne de voyage...

Elle tombe, m'entrenant dans sa chute...

Gladriel soupira...Elle avait hésité à faire cet écrit...Ce n'était pas un simple récit d'invention, mais un vrai récit autobiographique...Une période noir de sa vie.Mais bon en resta sur ce devoir.
Regardant son ancienne copie, elle regarda les remarques de son proffesseur.

Citation :

Pas mal de fautes d'orthographe qui devraient être facilement éliminées avec une bonne relecture.

Une nouvelle bataille était engagé avec l'orthographe...

Citation :

La chute est interessante.

Elle espéra que son texte était tout aussi bien mais bon...

Citation :

Récit trop long. (d'un coté...)

Récit trop long...Elle ne savait pas si elle avait fait mieux...En voyant la taille de son texte elle se dit que la prochaine fois elle écrira en tout petit et ne sautera pas de ligne pour prendre moin de place!Par contre elle ne sut commenter le "d'un côté " n'ayant pas compris à quoi il faissait référence.
Ce disant que ce n'est pas au bout du deuxième récit que l'on a des progres elle rendit da feuille entendant avec impassience le prochain exercice pour faire mieux.

le pigeon, pour une fois plus que dans les temps, se pose doucement sur le rebort de la fenêtre. Il avait retenu la lesson et il ne s'arreterai plus en route.

Citation :

Amoureux des astres, du soleil particulièremment qui lui rechauffe le coeur chaque jour, il se mit à le regarder jusqu'à s'en bruler les yeux.


Là, gisant sur le sol humide du matin, il essaye de fermer les yeux. Cela fais des jours qu'il ne trouve pas le sommeil. Il profite donc de la brêve halte qui lui est accordé.

Le soleil disparait sous ses lourdes paupières et ils sont déjà là! Leurs cris de désespoire et de douleurs resonne dans ma tête. Je voudrai tant qu'ils sortent, qu'ils me laisse tranquilles.

Sont'ils vraiment là? fantômes de mes crimes immondes dans cette guerre inutile.

Je ne les entends plus! Ou sont ils? Les revoilà!

Tant de torture pour un esprit fatigué. Ne dit-on pas qu'on est toujours seul avec soit même!


Toujour aussi noir! Pourquoi? la guerre peut-être! Cependant j'éspère que cela repond au thème du sujet même si la poursuite n'est pas au sens propre.

Bien a vous

Arami

Gromit arrivat avec un très grand sourire dans la salle de classe et regarda Anasmes.

bonjour ,
je voudrais savor si il serai possible de participer a votre cours.Je veux participe a votre cour car j'ai des difficulté en tout points et je pense que votre cour ne peux que m'aider et les RP ca m'inspire .

La jeune bourganiaude arriva dans la salle de classe. De toute évidence, celle ci n'avais pas servie depuis un certain temps. Ouvrant d'abord largement fenêtres et volets, elle passa un coup de chiffon sur les tables, le bureau et les autres éléments de la pièce avant de chasser toute cette poussière a grand coups de balais. Satisfaite par le résultat, elle rangea une pile de parchemins et par curiosités parcourue les notes sans aucun doute du professeur Kelrak et de ses élèves. C'était fort intéressant mais sa méthode a elle serait différente. S'asseyant derrière le bureau, elle disposa la pile a coté de celle de parchemins vierge dont elle en saisit un. De sa plus belle plume elle écrivit


Cela lui faisait un effet étrange de lire ce qu'elle venait de noter. Et le titre de professeur lui semblait un peu pompeux sans compter qu'il se déclinait difficilement au féminin. Allant suspendre ce mot sur la porte , elle se prit a espérer que des personnes s'intéresserait a ce cours d'une part, et qu'elle serais a la hauteur des attentes d'autre part. Le sieur Naja lui avait dis vouloir s'inscrire et de devoir...hum ..instruire? une telle personnalité que le maire lui fit trembler un peu les mains. Se secouant, elle se reprit en se disant que ce ne serrais pas la fosse aux lions et que somme toute il semblait bien sympathique. Restait a savoir qui d'autre se présenterais. Refermant la porte derrière elle en sortant elle se dit qu'elle verrais bien ce qu'il en adviendra lundi pour le premier épisode de cette nouvelle aventure dans laquelle elle se lançait.

Gladriel sort de la mairie où elle a, comme prévu, laisser un missive à Naja pour demander à ce que Merwyn fasse partie du conseil municipal, pour pouvoir s’occuper avec elle de l’animation. Comme à son habitude, l’animatrice passe devant la vieille école pour rejoindre son logis.

Cette vieille bâtisse, elle la tend de fois observé… Elle connait chaque grain de rouille qui ronge ses ferrures, chaque tâche de salissure qui souille ses murs. Cette bonne école, elle s’était battu il y a un an et demi, peut être deux, en compagnie d’Argawaren. Ils avaient tout fait pour tenter de sauver cette batisse et relancer son activité mais pourtant, aucun habitant ne s’était manifester, aucun. Cela lui avait briser le cœur.

Chaque jour alors, elle repasse devant ce monument de souvenirs en espérant que peut être, un jour, ces portes seront rouvertes.

Une fois encore, son regard se pose sur la grande porte de bois, et se fenêtre closes… closes? Non, pas toutes. Fronçant les sourcils, Gladriel s’arrête en fixant la bâtisse. Puis elle s’approche de la porte. Sa main se pose sur le bois, et lentement, elle la pousse. Les gonds grincent, mais à sa grande surprise, la porte n’est pas close. Serait-se des vagabonds qui auraient pris possession des lieux?

Le visage surpris, la jeune femme se permet alors de faire un tour dans la bâtisse. Les couloirs sont obscures, ils sentent le vieux souvenirs poussiéreux mais tant précieux. Lentement, ses pas la guident à l’étage, là où se trouve ces deux classes favorites: la salle de Botanique et celle d’Expres​sion(RP).

Elle passe devant la classe de botanique et un sourire malicieux étire ses lèvres. Pauvre Azélie! C’est que les batailles de petit pois et de légumes devenait une salle habitude!

Gladriel se replonge dans ses souvenirs et au bout d’un moment, elle reprend sa marche pour rejoindre la salle d’Expression. Quand ce yeux se pose sur le porte de bois, c’est un véritable choc que subit la jeune femme.

Citation :

CLASSE DE R.P.
Conseillère titulaire
damoiselle Merwyn

Les doigts tremblants de Gladriel glissent doucement sur le vélin placarder sur la porte. Hésitante, mais trop curieuse, trop abasourdie pour en rester là, la poigné de la porte tourne entre ses doigts et s’ouvre sur la salle de cours.

Un pièce rangée, propre et éclairée se dévoile à sa vue. Glariel en reste totalement béate. Un regard incrédule se pose alors sur la jeune Merwyn attablé à son bureau d’enseignante. Encore cette jeune bourganiaude… Gladriel la fixe sans rien dire. Elle qui se bat contre des moulins à vents depuis des années, voit subitement débouler à Bourganeuf un ange bourré de motivation et de fougue. Un ange oui…

Gladriel referme la porte dans son dos puis elle s’approche lentement du bureau.

_ Bonjour Mademoiselle… J’aimerais m’inscrire à votre cours.

Gladriel laisse s’écouler quelque seconde de silence avant de sourire timidement en parlant à voix basse.

_ L’école qui rouvre… çà mérite bien un article dans Bourgalala çà…

Alors qu'elle s'apprêtait a retourner chez elle, la tête pleine d'idées sur la manière d'attaquer la chose, une voix la tira de ses pensées.

Bonjour Mademoiselle… J’aimerais m’inscrire à votre cours.

Devant elle se tenait dame Gladriel, avec un sourire timide et les yeux pétillants. Alors ça ....si elle s'attendait ....Elle répondit a son sourire et lui dit

Bonjour dame....Moi qui craignait de ne pas voir de personnes studieuses venir s'intéresser a mes modestes conseils. C'est avec joie que je vous accueillerais dans ce cours dès lundi.Je pense qu'il vous faudra formaliser votre inscription dans le bureau adéquat pour que tout soit fait dans les règles de l'art, c'est un point qu'il me faudra encore éclaircir avec l'administration municipale, mais je me réjouie déjà de vous avoir avec moi.

Deux jours plus tard, lundi
Après avoir remplie ses taches habituelles, Merwyn se rendit a l'école afin d'ouvrir la classe. Elle avait fait confectionner un tableau d'affichage qu'elle installa sur le coté de la pièce et y accrocha la quasi totalité des notes trouvées dans l'armoire en les relisant soigneusement. S'installant a son bureau, elle commença a rédiger un fil sur ce qu'elle allait expliquer a ses concitoyens en thermes d'expression.


Cela allais donner matière a plusieurs sessions et elle complèterais en fonction de l'avancement de chacun. En regardant par la fenêtre, elle attendit l'arrivée de ceux qui voudrait bien compléter leur savoir.

Lundi 1 Février, comme prévu Gladriel se rend en cour d’Expression. Cette pensée la fait sourire. Elle est ravie, malgré la sombre journée qu’elle a passer hier. La voilà, grande enfant qui par guillerette, à l’école.

Rapidement elle rejoint la fameuse salle. De quelque coups contre la porte, elle annonce son arrivé. Quand une voix connue le lui indique, Gladriel entre.

_Bonjour…

Sans attendre, elle va rejoindre une place près du bureau de la jeune Merwyn qui est désormais son professeur.

_ J’ai voulus m’inscrire au registre…. Mais voilà bien longtemps qu’il n’y a plus de personne qui s’occupe du registre de l’école… en espérant que les souris n’ont pas dévorés les parchemins qu’il reste.

Gladriel se racle la gore est ferme cette petite parenthèse. Tout en lisant le tableau qui trône sur le côté de la pièce, elle attend avec la jeune dame l’arrivée éventuel d’autre élève.