La maison de Gladriel, Cael et Mélusine

arami a enfin terminé de préparer la douce boisson chaude qui allait lui réchauffer les os a lui et a sa douce. versant le liquide encore fort crémeux dans deux tasse profonde, il se dirige vers le coffre d'où il sort une petite bouteille d'un liquide transparent. il en enlève le petit bouchon en liège avant de verser deux goute dans chaque tasse.

Ne laissant point de répit il remonte a l'étage afin d'offrir le doux mélange a sa douce. Passant le seuil de la chambré il la trouve plus superbe que jamais.

A ce moment, il aurait voulu lui dire tant de chose que les mots ne peuvent exprimer. Il se contenta de la regarder avec ses yeux pétilants.

La jeune femme souriait toujours, le regard émerveiller et quand elle vit Arami monter ses yeux furent plein d'amour. Elle attendait qu'il pose le plateau elle alla lui donner un tendre baiser.

_C'est Mélianos qui m'a offert cela! Comme les trouvent tu?

Mais avant qu'il réponde elle l'embrassa de nouveau. Elle regarda alors les tasses sur le plateau... Elle était très touché par toutes ses petites marques d'attention qu'il lui montrait.

_Merci mon coeur!

Arami observe tendrement la femme qu'il aime. Sa beauté irradie la pièce. Lorsqu'elle lui indique le contenu du paquet, il baisse les yeux doucement dessus avant de revenir sur les yeux de sa douce avant de répondre:

Ils sont superbes, mais n'égaleront jamais la beauté de tes yeux!

Il la déguste des yeux, se laissant enivrer par l'odeur que dégage la douce peau suave.

Puis les yeux de sa belle virevoltent jusqu'au plateau et de la en ressort un remerciement non fin.

Mais c'est a moi de te remercier ma douce, car u illumine mes jours et rend ma vie pleine de bonheur. De plus tu m'offre le plus beau des cadeaux et je t'en suis redevable.

Lentement il capte la main fragile dans ses mains rocailleuses du a la moisson d'automne qui lui avait causé fort bien de soucis.Lentement il monte la peau lisse sur le bord de ses lèvres et y dépose un doux baisé.

Ensuite, il descend l'escalier fort raide avant de débouché dans la petite pièce de vie. Soulevant un lourd drap il sort une lame courte et effilé, protégé par un simple tissus de lin cousu avec des tendons de porcs afin de résister au va et vient du tranchant lors des aléa des multiples pérégrinations. De l'autre mains il sort un bout de bois courbé par les ans. Le bois d'if, fin et lisse se termine par deux fines encoche sur les bout. Cherchant dans le petit recoins un morceau de boyau dont ses mains ne rencontre ni le nœud ni la filière. L'énervement le gagne car bientôt, le soleil aurait effacé les traces fraiches de quelques gibiers dans les bois entourant la ville. IL jette bas du petit meuble la lourde couverture et aperçois la cause de sa contrariété. Le fin boyau de biche gisait dans un plis du lourd tissus. Empoignant ses armes il prend la direction de la porte afin d'aller quérir le gibiers qui ragaillardiraient leur corps lorsque le grand froid sera la.

C'est le visage sévère qu'Arami se retrouve devant sa porte. Le petit chevreuil pendu a son dos, il pousse la porte de la petite bâtisse. Il la depose nonchalamment dans le sellier avant de repartir vers un grand coffre en chêne noueux.

Le panneaux de fermeture se laisse mouvoir sans résistance, ne laissant dans l'air qu'un petit crissement issue des deux charnière mal ajustées. Un odeur âpres s'envole dans la puisse, elle prend Arami jusqu'à lui donné un gout horrible dans la bouche. Les veilles couvertures avaient prises un peu l'humidité et faits masserer le métal ainsi que le sang séchè qu'il n'avait su nettoyer.

Il sort les quelques affaires du coffre avant de remplir une grande marmite et de la mettre a bouillir sur le feu mordant de la cheminée. Puis se retournant, il dit d'une voix monocorde et austère:

Gladriel. ou est tu je dois te parler. C'est très important.

Attentant une réponse il se retourne de nouveau vers le feu, le regard cherchant une délivrance dans l'éclat des flammes se jouant de l'obscurité. La nuit a presque recouvert la terre de son voile paisible et si secret.. Arami ne disposait que de quelques heures au plus et aussi il saisi les pièces métalliques et les laisse choir dans l'eau fumante. Au mélange sont rajouté quelques herbes parfumantes afin de lutter contre l'odeur récurrente. Dans un dernier tissus il découvre une large lame brillante, vestige de ses actes peu glorieux.

Jusqu'ici tu n'as jamais ôtez le souffle que de simples enfants et de leurs mères au non d'une guerre inutile. Aujourd'hui un jour nouveau se profile pour toi.

A la garde était enroulé une petite lanière de cuir a laquelle se retint une petite pierre dont les forme semblent avoir été travaillées. Cadeaux inestimable de ses amies, avant sa première bataille, afin de le protéger et de ne pas les oublier. D'un geste lent et douloureux, il déroule la cordelette la laissant flotter dans l'air charriant, le petit colis qu'elle transporte. Son regard fuit la seine pour s'attarder sur la lame. Malgré un plat éméché par quelques coup parés, le tranchant reste irréprochable, quelques tache d'une rouille disgracieuse trouve place sur le haut de la lame. D'un geste précis, sa main munie d'une pierre se lance dans une danse interminable pour rendre son éclat à sa pièce maitresse.

Son affilage fini, il vide la marmite, ramassant avec un cuir épais les pièces de métal avant de les polir d'un geste énergique et pourtant toujours aussi précis. Dans ses gestes, il retrouve des sensations oubliées depuis sa rencontre avec son petit brin de femme. Ces sensations lui enserre le cœur.

Non jamais, je ne veux plus!

Aujourd'hui la haine avait cessé d'enserrer son cœur. L'amour l'avait libérer et non il ne se laisserait plus séduire par le diable. Plus jamais il n'éprouverai de plaisir a cela.

Se levant il va cherche, dans un morceau de cuir, un plastron plié avec soin. Il l'examine et, le jugeant propre, le dépose sur la table. Avec des gestes lent et lourd il se déshabille avant de se vêtir d'une légère tunique de lin. Il s'appuie sur la table ajustant les plaquettes de métal sur ses membres. Le plastron trouve sa place sur la côte de maille. L'épée dans son fourreau balançant a sa gauche.

Il cherche sa douce avec ses yeux désespérés. L'heure de la séparation était venue et bientôt il prendrai la route pour quelques jours!

Se retrouvant seule, Arami étant à la chasse, Gladriel avait décidé de monter dans leur chambre. Ne sachant trop quoi faire elle tourna en rond pendant un bon moment avant de consentir à s'asseoir au petit bureau près du lit. Elle prit alors du papier qui traînait par là elle ôta la plume de son encrier... encrier... La jeune femme ne put se retenir de sourire à ses souvenirs là.

Elle commença alors à gribouillé quelque mots, puis des phrases donnant peu à peu des vers... Elle était complétement concentrée dans ce qu'elle faisait et elle sursauta quand elle entendit Arami appeler. Elle finit alors d'écrire son vers puis elle déscendit rapidement les escaliers... Elle n'aimait pas du tout le ton qu'avait la voix d'Arami et celà ne lui prédit rien de bon.

Son coeur s'arrêta de battre et sa main se crispa sur sa robe. Ce n'était plus la lumière chaleureuse du feu qui éclairait la pièce mais l'éclat blanc du métal... Gladriel croisa les bras, serant ses frêle mains contre ses bras. Elle fit un éffort surhumain pour lui parler sans tremblement dans la voix.

_Combien de temps pars-tu?

Elle ferma les yeux, retenant ses larmes . Elle ne voulait pas rester seule pas maintenant...

Le regard figé sur la poignée de la porte, Arami tressaille au son de la voix de sa douce. Point de défaut mais un ton qu'il n'avait jamais entendu sortir de la délicate gorge. Cela étreignit son cœur. La tristesse qu'il éprouve vint tinter son visage. Une larme chaude et salée vint perlé dans le coin d'un œil avant de dévaler la joue pour s'écraser sur le sol. Il se retourne doucement cherchant sa douce dans la baie de l'escalier. C'est un regard plein de tendresse qu'il lui adresse. Il ne savait pas comment apaiser l'inquiétude probable de sa douce.

Mon ange! Les mots s'étranglent dans sa gorge. le son en est rendu presque incompréhensible.

Je ne peut te le dire avec certitude! Quelques jours , un mois au plus si cela ne se passe pas bien!

Lentement, il se dirige vers sa douce, la prenant dans ses bras. Il dépose un baisé sur le front de la belle.

Je serai vite la mon ange et ne commettrai aucune imprudence Et jaais tu ne quittera mes pensées. C'est grace a toi que je respire et je veux revoir le soleil de tes yeux

Arami aurait voulu fondre en larme sur l'épaule de sa douce mais il ne le pouvait, non il devait tenir, pour elle, pour eux.

Gladriel, malgres tout l'éffort qu'elle faisait, n'arrivait pas à avoir le courage qu'elle admirait tant et elle ne put retenir ses larmes. Elle laissa couler ses larmes, la tête enfoui dans les bras d'Arami. La vie et une chose bien cruelle, elle joue avec vos nerfs, elle joue avec l'amour... La jeune femme ambrassa alors avec tendresse son ange. Elle l'aimait trop, elle tenait plus à la vie de cette homme qu'à sa propre vie.

_Rentre vite, lui aussi aussi il à besoin de toi...

Elle prit la main d'Arami et la posa délicatement sur son ventre.

_Nous t'attendrons...

Quelqu’un frappa a la porte, la jeune femme remit alors sa plume dans son encrier, se leva du bureau et alla ouvrir la porte.

_Oh ! Gueld ! Je suis contente de te voir ! Entre, je t’en prit entre !

Après lui avoir fait la bise, Gladriel laissa la place à son ami et elle alla attacher son cheval dans l’écurie et lui offrit du foin. Visgrade, l’étalon apparemment dérangé par ce nouveau visiteur piaffait nerveusement et montrait les dents.

_Dit donc toi !! Tu vas être plus sociable un peu ?!

La jeune femme haussa les épaules… Un tête de cochon ça restera toujours une tête de cochon !

Gladriel retourna alors dan la maison et elle se mit à rire quand elle vit Chaussette collé a Gueldnard.

_Je vois qu’elle t’aime toujours autant !! Comment va la petite famille ? Tu veux boire quelque chose ?

Gladriel fut surprise quand son ami lui dit que lui et Cab avait fait « une pause ». Elle ne sut si vieux valait se taire ou si une question ne serait pas indiscrète… La jeune femme préféra ne rien dire et se contenta de lui faire un petit sourire navré.

_Moi ça va, fatigué mais pas encore épuisé^^ Et le bébé sembla aller bien aussi.

A ces mots en sourit tendrement et posa une main sur ventre qui commençait à bien s’arrondir. Puis elle invita Gueld à s’asseoir et elle fit de même.

_Vas y Gueld, je t’écoute, tu sais que tu peux toujours compter sur moi !

Gladriel s’étouffa avec un bout de son gâteau et après une bonne quinte de toux elle réussis à respirer de nouveau. Elle regarda alors Gueld avec des yeux tout ronds et mit un certain temps avant de répondre.

_Euh… Il faut dire que… Je ne m’attendais pas du tout à ça !

C’est vrai, après tout Gladriel était plutôt connue pour sa sérénité et son pacifisme… Et les cour d’escrime c’est qui les suivait (ou plutôt les « avait suivit ») mais elle n’en avait jamais donné… Mais il fallait dire qu’elle avait eu un excellent maître… enfin une excellente maîtresse.

_Mais bon… je veux bien, mais je te préviens je n’ais jamais donné de cours… et chacun à sa propre façon de combattre… Mais je veux essayer de t’enseigner la mienne…

Elle sourit alors se demandant déjà comment elle pourrait si prendre pour lui faire à améliorer son escrime… Il fallait juste qu’elle se souvienne des leçons de sa marraine.

_Par contre on ira doucement, si jamais il y a un petit duel, mais même pour tout, je ne voudrais pas prendre de risque pour le bébé.

_Euh, je ne sais pas, comme tu veux… Peut-être pouvons-nous d’abord parler un petit peu théorie ?

Gladriel invita donc Gueldnard à se rasseoir.

_Il faut d’abord savoir que chaque personne à sa façon de combattre, et le mieux serait de recevoir des conseils de diverses personnes… ma marraine, par exemple, m’a toujours dit qu’il faut a tout prit intimider l’adversaire… Si tu l’intimides, tu as déjà gagné une partie de ton combat. Arami lui m’a dit de ne pas justement révéler ses capacités, faire croire que tu ne te bats pas aussi bien… Cela te permettra de surprendre ton rival.

La jeune femme se leva alors et se dirigea vers un coffre posé près de la cheminée. Elle ne s’arrêta pas pour autant de parler.

_Pour combattre avec agilité il faut d’abord combattre avec fluidité… pour être fluide, il faut être souple et surtout avoir le pied sur. Elle sortie une chose longue enveloppé d’un tissu blanc. On ne combat pas sans savoir ou l’on tape, bien que cela ne soit valable que dans un duel, en pleine guerre c’est autre chose. Elle ôta le drap et laissa apparaître une épée.
Combattre c’est aussi un état d’esprit, on ne combat pas dans la précipitation, mais surtout il faut avoir un mental d’acier. Il ne faut pas craindre la douleur… il faut prendre des risques…

La jeune femme tira une longue et fine épée de son fourreau. Et elle sourit alors tristement… on aurait dit sa marraine en train de parler. Elle se souvint alors de certaines séances d’entraînement qui restaient gravées dans sa tête. Elle revint alors vers Gueldnard.

_L’épée jouera beaucoup dans ta façon de combattre. Une épée fine et légère comme celle-ci te permettra des mouvements rapides et souples. Une épée plus lourde aura plus de puissance d’impact mais, à moins que tu ne sois une montagne de muscle tes mouvements, seront plus longs ! Comment et ton épée?

Gladriel regarda Gueldnard s’enfoncer un poignard dans l’avant-bras. Elle ne dit rien… Au moins il ne craignait pas la douleur et cela faisait beaucoup ! La chose la plus dure à apprendre à un élève en arme c’est de ne pas craindre la douleur. Et c’est sans doute pour cela que Gladriel n’avait jamais put atteindre la cheville de sa marraine… Elle ne prenait pas assez de risque. Elle n’aimait pas le combat ! Bien qu’elle doit avouer que ses dures leçons lui ont été bénéfiques…

Puis son ami sorti son épée et la jeune femme la prit avec précaution.

_Je n’ais jamais utilisé de telle arme. Elle l’empoigna alors et commença à exécuter quelque petit mouvement de poignet. Elle est équilibré mais l’équilibre n’est pas exactement le même que celui d’une simple épée. Mais elle doit surment avoir des avantages. Avec une épée effilée comme la mienne je peux très facilement transpercé mais trancher peut être plus difficile surtout si mon adversaire a bonne protection et de plus je n’ais pas une très grande force ! Mais je pense qu’avec la tienne il sera plus simple de trancher que piquer. La jeunefemme passa délicatement le doigt sur le tranchant. Elle est très bien aiguisée !

Elle remit l’épée dans son fourreau et Gladriel sortit de sa robe un mouchoir propre et elle l’appliqua sur l’avant-bras de Gueld. Elle appuyait fermement. Quand elle entendit le mot « maître » la jeune femme fut un peu surprise. Il fallait qu’elle s’habitue a son statue de maître… C’est elle qui allait apprendre pour une fois et non l’inverse. Cela donnait une sensation très bizarre pour la jeune femme.

_Veux que l’on sorte dehors pour faire un petit peu de pratique. Mais je te préviens je n’ais jamais donné de cour…

La jeune femme sortit alors avec Gueldnard puis elle lui demanda d’attendre quelque instant. Elle courut dans sa chambre, ayant faillie au passage d’écraser la pauvre Chaussette. La jeune femme troqua sa longue robe grena contre des affaires plutôt masculines. Pantalon et long manteau vert, botte de cuir… Elle attacha alors son épée contre sa hanche gauche puis elle ressortit.

Quand elle fut dehors elle conduit Gueldnard derrière la maison la ou il allait s’entraîner. Elle le vit fermer les yeux pour se concentrer sans doute et Gladriel apprécia cette initiative. Mais quand il les rouvrit Gladriel s’approcha et lui demanda de les refermer pour qu’il puisse mieux se concentrer sur ses paroles. Elle prit alors la main du jeune homme et elle la posa sur la garde de son épée.

_Sache que ton épée, c’est ton âme au combat… Ce n’est pas un outil quelconque, c’est le prolongement de ton bras, elle fait partie intégrante de toi ! Tu dois apprendre a la maîtriser et a forger ton caractère… Elle est tranchante et équilibré mais c’est toi qui la rendras rapide, puissante ou redoutable ! Ton épée, c’est le reflet de ton âme, alors a toi de la faire a ton image.

Elle guida la main de Gueld pour sortir son épée de son fourreau. Puis elle recula et lui fit rouvrir les yeux.

_Il faut que tu saches qu’il y a trois « mouvement » principaux quand tu combats. Elle sorti alors sa lame de son fourreau. Le coup d’estoc, elle mima alors un coup droit, qui se fait avec la pointe de l’épée et qui sert à « embrocher » l’adversaire. Il y a le coup de taille, elle mima de nouveau, qui s’exécute avec le tranchant de la lame et qui a… a « trancher » le rival. Puis il y a la parade qui se fait avec l’aide du plat de la lame. Tu pourras améliorer tes coups avec différentes combines, avec des sauts, des esquives ect mais on verra ça plus tard… Regarde

Elle lui montra alors doucement ces coups simples. Pour le coup droit elle arma son bras droit, le coude plié et sur l’arrière, puis elle « détendit » le tout, piquant une cible invisible. Pour le coup de taille elle frappa de revers : son bras droit contre elle, la main et donc l’épée sur son coté gauche, elle lui fit décrire un arc de cercle devant elle vers la droite puis fit de même en revenant sur la gauche pour arriver dans sa position initiale.

_Quand tu fais cela, tu frappe de revers puis tu refrappe d'un simple coup de taile, ne va pas trop vite, emporter par ton élan et la force de ton arme tu risque de te blesser. Ton poignet risque de se plier violement et ton épée risque, à cause de sa longueur, de te blesser le dos. Refais ces deux coups, ils sont très simple mais refais les…

La jeune femme regarda faire son élève. Les coups étaient bien bien portés malgres les défauts qu'elle allait lui faire remarquer...notament sa précipitation. Comme pour exprimer la pensée de la jeune "Maître" l'épée glissa des mains de Gueldnard et alla se figer plus loin. Celui-ci alla la chercher et contient de son erreur il reprit les mouvements plus doucement.

Après encore quelque minutes d'observation, Gladriel arrêta son élève.

_Tes coups sont bien portés, tu y mets de la volonté mais comme tu l'as remarqué tu te précipite trop... Mais tu as tenté de coriger ton erreur et tu y es parvenu... c'est bien. Ne confond jamais vitesse et précipitation!
Ensuite j'ais quelques conseils et remarques à te faire. Elle se placa derrière lui et lui mit les mains sur les épaules. Quand tu donne un coup d'estoc, ce n'est pas que ton bras qui "pique". Tout ton bustre doit suivre. Arme ton bras! Et donne ton coup.

Qaund Gueld s'exécuta, elle lui bougea les épaule pour lui montrer le mouvement à suivre puis elle se mit à côté de lui.

_Quand tu veux frapper quelqu'un de ton poing, par exemple,ce n'est pas que ton bras qui part, le haut de ton corps suit la trajectoir comme quand tu donne un crochet (anachronisme mais bon ^^) tes épaules ainsi que ton corps ne sont pas immobilent, ils suivent le mouvement c'est pareil pour l'épée. Elle lui montra. Tu pivote, ton buste suit, tu auras ainsi plus de force dans ton attaque. Tu peux faire celà même rapidement mais il faut toujours faire atention au mauvais mouvement qui te bloqueront le dos plutot que t'aider! Mais ton bustre doit suivre le mouvement de ton bras..

Elle demanda alors à Gueld de refaire tout ses mouvements comme il faut.

_Reste bien concentré dans ce que tu fais, ne tente pas de combinaison pour le moment: pas de saut, de fente, esquive complexe ect. Non pas que je te crois incapable de le faire mais mieux partir sur des base simple et corriger ces petit défaut que de réussir à enchainer des coup complexes mais les louper ou te blaisser.
Je veux de la précision pas de la puissance!

Gladriel regardait son élève. Il faisait tout avec soin et précision, il évitait de refaire les même erreurs et quand il vit que tout allait bien il accélérra un peu... sans ce précipiter. Il progressra très vite et en peu de temps. Il lui demanda alors quelque chose et Gladriel repondit alors.

_Je n'ais rien pour le moment sur quoi tu pourrais t'entraîner... la prochaine fois je prendrais le matériel qu'il faudra mais attend moi ici.

La jeune femme s'éclipsa alors et revint au bout de quelque minutes avec deux larges bâtons de la longueur d'une épée.

_Rengaine ton arme et dépose-la là.

La jeune femme déposa également son épée contre le mur de la maison. Quand Gueldnard eue déposé son arme elle lui tendit un des deux bâtons.

_A faute d'épouventail tu as moi! On va seulement refaire ces quelques coups plus rapidemant mais avec la même précision. Tu vas attaquer moi je me contenterais seulement de parer. Ne tapes pas trop forte mais essaye d'être le plus fluide possible. Et s'il te plaît évite de taper au niveau du ventre car malgrès mes parade tu risque de me toucher, çà ne me dérange pas mais attention à lui...

Elle posa sa main sur ventre et sourrit.

_On y va? Attaque-moi!

Gueldnard commença à attaquer timidement, sans aucune force, sans aucune volonté. Voyant qu'il ne "voulait pas" attaquer, la jeune femme tenta de l'y obliger. Elle para un des coups et riposta en coup de taille au niveau de l'épaule de son adversaire.

Puis à la grande stupéfaction de la futur mère, Gueldnard s'agenouilla et abandonna. La jeune femme ne sut que faire, connaissant trop bien ce sentiment mais elle était là, elle était "maître" aujourd'hui et elle devait lui apprendre... mais le jeune homme avait très bien travaillé et Gladriel laissa paser cette action.

_Relève-toi, le soleil se couche et nous n'allons pas prolonger l'entaînement, tu as tès bien travailler... je ne dis rien cette fois, car c'est la première, mais la prochaine fois que je te demanderais d'attaquer tu le feras...

Quand fut relevé elle lui prit le baton et lui redonna son arme tout en reprennant la sienne. Elle se mit devant lui et le salua d'un signe de tête.

_L'entaînement et finit pour aujourd'hui...
Je vais rentrer préparer le repas... Tu restes pour dîner?