La maison de Gladriel, Cael et Mélusine

Tout en buvant son chocolat la jeune femme écoutait attentivement son ami... Que Yan soit louer!

Puis voyant l'espression de Gueld la jeune femme regretta soudainement sa question. Puis elle le regarda les yeux ronds.

_Malade? Elle risque de mourrir? Mon dieu! J'espère de tout mon coeur qu'elle s'en sortira!

Gladriel perdit son regard dans son bol. Cabotine était une amie et elle ne voulait pas qu'elle meurt elle aussi! Anyaka, Azerkan et Arami.. Tout le monde meurt à Bourganeuf et les personnes des premiers ne sont plus nombreux... Il s'en vont tous d'une façon ou d'une autre. C'est la requète de son ami qui la réveilla.

_Oh oui j'en ais, Arami étant le roi des bouteilles dans ma cave on trouve de tout!

Elle finit vite fait de boire puis alla cherche se dont Gueldnard avait besoin et quelque minute plutart elle lui tandis la bouteille et un verre.

La jeune femme sourit a son ami et lui fit la bise.

_Je te souhait bon voyage alors! Fais attention a toi cette fois, et garde la bouteille mois je ne bois pas!!

Elle raccompagna son ami et le remercia denouveau.

_Si tu ne rentre pas en un seul morceau tu risque de m'entendre!! Fais attention alors!

Des petits cris de rire s’élevaient dans la maison. Voilà bien longtemps que le silence n’avait pas été chassé de ces murs tristes. La petite chatte grise faisait la funambule sur les barreaux des deux berceaux qui trônait au centre de la pièce. Les bonds de Chaussette par-dessus leur petite tête créaient l’hilarité la plus totale chez les deux bébés et cela faisait rire Gladriel.

Depuis combien de temps n’avait elle pas entendu le son de son propre rire ? La jeune mère s’affairait aux tâches ménagères car çà maison avait besoin d’un bon coup chiffon ! Et autan dire quelle avait une journée bien rempli. La jeune femme était sur le point d’aller voir Mirabelle, qui allait elle aussi devenir une jeune maman d’ici quelque semaines quand on frappa à la porte.

Gladriel se dirigea vers cette dernière et quand elle l’ouvrit son visage s’illumina.

_Gueld ! Sa me fait plaisir que tu sois venu, entre !

Gladriel allait s’approcher pour faire la bise à son ami mais Chaussette prit les devant et sauta sur l’arrivant. Il en avait pas finit le pauvre. Ronronnant, perché sur l’épaule de Gueld, la petite chatte grise était au ange !

Cael et Mélusine se mirent à pleurer à l'approche de l'arrivant et Gladriel eu un petit sourire. Elle s'approcha de ses enfants et les calma de quelques paroles douces.

_ Au mariage d'Aki, ils étaient à moitié endormis effectivement... Mais vu le papa, ils débordent d'énergie, tout de même! Je pense que dès qu’ils sauront marcher, je cacherais la clé de la cave! Si ils ont comme Arami, les bouteilles on du souci à se faire! Elles ne resterons pas pleine longtemps...
Et nan tu n'es pas si affreux que çà! Tu n'es pas affreux du tout!

Un sourire amusé sur son visage, emplie de souvenir, Gladriel tout en parlant, rangea rapidement les petites affaires qui traînait par-ci, par-là.

_Tu es même un beau jeune homme Gueld! Mais un beau jeune homme qui semble avoir des soucis...

Son ami avait les traits tirés... Simple fatigue ou pensé tortueuse?

_Tout vas bien pour toi?

Gladriel se stoppa un moment dans son travail.

_Tu repars chez les moines? Il faut dire que je ne comprends pas... Tes relations avec la religion semblent... Tendues. Pourquoi repars-tu chez des moines alors?

Gladriel eut ensuit un petit rire à l'évocation de ces bouteilles.

_Je ne risque rien alors! Je peux dire adieux à la crise d'alcool qui ne tardera pas a venir!

La jeune femme retourna à son ménage quand Gueld vint briser le travail de toute une après-midi... En même temps c'était vrai... D'ici quelque heure le Bazard serait le même. Elle abandonna la tâche ménagère et vint s'assoire près de son ami.
Se rappelant quelque mot de son ami, le visage de la jeune mère se fit plus triste.

_Tu n'a plus de nouvel Awen? Pourquoi? Tu ne s'est pas où il est? Mais comment Cab peut elle ne pas te donner de nouvel?! C’est ton fils quand même !

Cela lui semblait révoltant! Bien que les deux personnes ne soient plus ensemble, Gueld pouvait bien avoir des nouvelles de son fils. La tristesse de se dernier était compréhensible et Gladriel se tourne alors vers ses deux enfants. Elle ne s'imaginait pas être séparé d'eux, et c'est pourtant ce qui a faillit lui arriver... dès leur naissance.

Gladriel acquiesça aux dires de son ami. Cabotine était une bonne mère, elle n’en doutait pas. Néanmoins la jeune rit aux dernières paroles de son ami.

_Les moines sont des hommes de fois pour qui j’ais un profond respect.

Sourire ironique. La jeune femme se dirige vers les berceaux de ses enfants. Ils dorment à présent. Doux moment, émouvant, qui nous rappelle à quel point l’innocence peu être un précieux don. Gladriel caresse la joue des deux bébés avant de se retourner vers son ami.

_Pendant qu’ils dorment je vais aller à l’écurie, voir Mirabelle qui devrait mettre bas dans peu de temps. Viens avec moi !

Laissant Chaussette dans la maison, les deux jeunes gens se dirigèrent vers l’étable. La lourde porte de bois grinça, annonçant leur arriver au deux chevaux. Trois boxs se trouvaient dans l’étable, dont un, plus grand qui avait contenue les cochons d’Arami. C’est Mirabelle, la jument grise qui avait pris leur place.

_Je vais mettre ta jument dans le boxe libre, pour ne pas qu’elle reste dehors, sanglé et bridé.

Gladriel alla cherché la jument de son ami et la déssella puis elle la rentra dans le boxe garnit de paille et de foin. A l’arriver d’une nouvelle jument qui pouvait grossir son harem, l’étalon s’excita, commencent à piaffer et parader. Gladriel n’en tient pas compte, il se calmera bien un jour ! Celle-ci rentra dans le box de la percheronne et caressa son ventre tout rond.

_Tu vois ! Cela c’est le début de mon élevage ! J’espère pouvoir construire une grande écurie et vendre mes cheveux pour les simples paysans mai aussi pour les grands seigneurs !

Prévoyant la remarque de son ami, la jeune femme ajouta de suite.

_Mais bien sur, je m’assurerais qu’ils ne les achèteront pas pour les manger.

En ce milieu de journée le ciel était lumineux et la chaleur, douce et légère, était néanmoins bien présente. Devant la bâtisse de pierre, les fleurs avaient éclos et elles laissaient toutes s'échapper des odeurs enivrantes et leurs couleurs rayonnaient sous les caresses du soleil.

Gladriel ne s'était vêtu que d'une légère robe aux voiles vert. Ces deux mains tenant celle de son fils qui faisait ses premiers pas, Mélusine attaché dans son dos, la jeune mère se dirigeait vers la grange qui lui servait d'écurie. La jument percheronne, Mirabelle, devrait mettre bas d'ici un ou deux jours et Gladriel voulait contrôler la santé de cette dernière.

_Ne bouge pas mon poussin!

Elle assit Cael sur le sol pour pouvoir ouvrir la lourde porte de bois, puis elle reprit son petit garçon qui recommença aussitôt ses petits pas mal assuré. L'étalon accueilla leurs arrivée par un long henissement. Il semblait assez excité... Le beau temps sans doute? La jument grise quand à elle était calme et elle bougea seulement la tête quand la jeune femme arriva.

Gladriel l'examina tout en avançant et crue que la jument était dabord moin ronde que d'ordinaire,puis, s'approchant encore, elle comprit... Allongé dans la paille qui recouvrait le sol du boxe une petite forme noir semblait se reposer. La silhouette se leva d'un bond quand elle vit arriver les nouveaux venus et manqua de tomber. Mirabelle rassura son poulain d'une petite caresse du nez.

Emerveillié,surprise mais bien heureuse, Gladriel prit Cael dans ses bras avant d'entrer dans le boxe. Elle carressa la mère et s'adressa à elle.

_Et bien ma fille! Tu nous l'a fait plus tôt que prévu. Et tu nous a fai un beau poulain...un petit mâle en plus!

La jeune femme s'accroupi et posa Cael sur ses genoux. Elle tendit une main vers le petit poulain qui était tout noir... Allait-il le resté ou deviendra t-il gris? On le saura bien assez tôt!
Le nouveau-né n'approcha pas tout de suite mais compris assez vite "l'animal" qui se trouvait devant lui avait aussi une progéniture et la jeunesse des deux petits "animaux" le rassura..il approcha.

Le poulain effleura la main de Gladriel et voyant que sa mère, Mirabelle, était tranquille il comprit que cette présence n'était pas une menace et il se risqua à approcher le bébé.

Gladriel eu un sourire attendrissant devant cette scène: les petites mains de Cael posé sur le nez tout fin du poulain, premier contact humain et première odeur, la jeune femme comprit dès cet instant qu'une complicité allait naître entre les deux petits êtres.

Caël sourit. La lumière qui traversait la fenêtre était toute chaude et cela le fit rire. Tout à son âge était amusant: un mouvement, un son, tout est un prétexte au bonheur et à la joie. Le petit garçon avait compris qu'il allait sortir quand il vit sa maman mettre sa petite soeur dans son dos.

Elle le sortit de son lit puis lui tint les mains pour qu'il se tienne en équilibre sur ses petits pieds. Comme c'était amusant! Et difficile d'avancer par soi-même... Mettre un pied devant l'autre c'était une nouvelle sensation à laquelle il avait peu goûté. Quelques fois il perdait l'équilibre, mais Maman était là pour l'éviter de tomber.

Ses petites chausses s'enfonçaient dans l'herbe tendre et moelleuse. Il aimait bien ses "cheveux verts" tout doux et plein de petites bêtes qui sautent de partout.

Ils arrivèrent vers la maison où vivaient les grands animaux dont Maman s'occupait.

Ses petits pieds quittèrent l'herbe pour la pierre et Caël s'approcha gaiement de la barrière de bois qui l'empêchait de voir. Mais Maman le porta et ils entrèrent dans "le lit" de la grande bête. Maman semblait contente et elle s'accroupit devant une grande bête, plus grande que lui mais plus petite qu'elle. Il était tout sombre et semblait fragile, tout comme lui. La "petite-grande-bête" s'approcha de lui et le petit garçon posa ses mains sur son petit nez tout noir.
Il ria quand il sentait l'air chaud qui sortait du nez de la bête noire. Il s'amusa alors à faire comme la "petite-grande-bête" et il souffla aussi fort qu'il pouvait de son petit nez.

Caël se retourna pour regarder le visage de sa Maman et il lui tapota l'épaule pour qu'elle voie bien qu'il s'amusait avec la bête toute sombre.

_Mo...meu...Môman!

C'était comme çà qu'on l'appelait, ou c'est comme çà qu'elle s'appelait toute seule... Il vit que sa maman était contente et Cael ria. Elle avait répondu à ce son, il pourrait lui reservir! Puis il se retourna vers l'animal noir pour jouer encore avec lui.

La nuit avait déverser son voile sur le village emmena avec elle son cortège d’obscurité et de silence… silence ? Pas totalement quand on sait écouter tous ces sons invisibles. Des bruits de pas léger mais bien audible se rapprochaient d’une petite maison qui tenait sa réputation des fleurs qui ornaient son jardin. Le cheval s’aventura dans la cour puis le cavalier qu’il portait le rentra dans le box d’une grange après l’avoir dessellé et panser.

La silhouette pénétra ensuite dans la maison et retirant son capuchon elle dévoila le visage fin d’une femme. Cette dernière posa sa cape sur le dossier d’une chaise puis elle monta les escaliers qui menaient au second étage. Poussant la porte d’une chambre, elle vit une petite femme, très vieille mais dont le cœur avait gardé toute sa générosité et l’esprit toute son intelligence. Gladriel redoutait de laisser ses enfants seules avec une personne autre qu’elle-même, elle se souviendrait toujours de son accouchement, toujours. Il était gravé dans sa tête et dans son cœur, et le visage de cette femme qui avait voulut volé sa petite fille hantera perpétuellement ces rêves… et chaque nuit elle se réveilleras pour être sur qu’ils ont bien à ses côté et chaque fin de journée elle se hâtera de rentrer chez elle ne pouvant pas éliminer cette boule d’angoisse qui se formait au creux de son ventre. Allait elle revoir ces enfants ? Les aura-t on enlevé ? Mais chaque elle les retrouvait endormi dans leur berceau, la vieille femme assis à côté d’eux, leur cousant quelques habits ou quelques mouchoirs pour quelques dames…

Elle avait bonne réputation, la nourrice mais Gladriel ne pouvait réprimer cette méfiance qu’elle éprouvait maintenant à touts les femmes qui lui étaient inconnues et qui plus ai, n’avait pas d’enfant. Mais la vieille dame savait et elle ne lui en tenait pas rigueur. Après quelque que parole échanger sur le déroulement de leur journée respective, Gladriel raccompagna jusqu’à dans la rue la nourrice puis elle l’observa rentrer chez elle quelque maison plus loin. Une fois qu’elle dut sur que la vieille femme ne risquait plus rien dans ces ruelles sombre, la jeune mère rentra chez elle.

Longuement elle observa d’un œil tendre ces jumeaux dormir dans sommeil plus que paisible. Demain elle se lèverait tôt, car prise pas le travail elle n’avait pas pu fêter dignement les un ans des ces enfant, le 29.

Puis elle se coucha et la chatte Chaussette ne tarda pas à la rejoindre s’allongeant sur le lit, à une place qui demeurait depuis bien longtemps vide…

La journée touchait à sa fin et la jeune femme rentrait du travail. Après avoir raccompagné comme à son habitude la vieille femme, qui l’informa que les enfants avaient mangé, Gladriel se consacra exclusivement à ses enfants. Les jumeaux jouaient avec Chaussette près de la cheminée dans laquelle le feu ne brûlait plus depuis plusieurs jours.

La jeune femme partit se débarbouiller et se changer, troquant ses habits de Lieutenant contre une robe ample et légère. Redescendant dans la cuisine -coup d’œil jeté aux enfants pour être sur que tout allait bien- Gladriel sortit de la maison pour se rendre à l’écurie. Elle sortit Mirabelle, suivit de près par Visildur, son poulain. Qu’il était mignon ! Et autant dire qu’il avait bien grandit. La jeune était sur qu’il ferait un très bel étalon plus tard, ainsi qu’une formidable monture qu’elle destinait déjà à son fils Caël.
La jeune mère harnacha la percheronne et lui attacha la charrette qu’elle avait due apprendre à lui mettre seule, puis elle alla chercher l’étalon qu’elle brida et attacha à l’arrière de la petite charrette.
Ensuite la jeune femme dirigea ses chevaux vers la porte de la maison. Elle alla chercher ses deux enfants et Chaussette qui grimpa sur le dos de la percheronne.

Gladriel installa tout son petit monde à l’arrière puis, repassant devant, elle attrapa longue rêne et les claqua sur la croupe de la jument qui commença à avancer.

La petite troupe s’en alla donc en direction du lac. Grand moment d’émotion pour les jumeaux et surtout pour le poulain : c’était sa première sortie hors de la maison! Il trottait joyeusement au côté de sa maman, suivit de près par son père, le fier Visgrade. Et les rues de la ville ne tardèrent pas à engloutir nos petits promeneurs du soir.

Citation :

un petit mot pour dire que je pense a vous aussi loin que je sois.

Douce Ambre

Le soleil était haut dans le ciel quand la jeune femme posa le pied sur les gallets qui formaient le court chemin qui menait à l'entrée de la maison. Gladriel ourvit la porte puis rentra. Elle constata que la vieille nourrice préparait le repas avec ces deux enfants. Chaussette était perché sur la table. C'est alors que quatre têtes surprises se tournèrent vers elle.

La petite chatte grise ne se fit pas attendre et ele sauta dans les bras de sa maîtresse. La jeune femme carressa l'animal affectueusement en s'approcha des trois autre personnes.

_Bonjour...

La vieille Corinne, tout aussi surprise que les enfants de l'arrivée imprévu de Gladriel, fut bien bien plus longue à réagir à cette entrée. La nourice, une fois l'étonnement passé, se précipita vers la jeune femme pour la débarrasser de son manteau.

_Bin en voilà une surprise mon bon Lieutenant! Vous enfant y sont bien heureux d'vous voir! On vous a laissé un jour d'r'pos?

Ses deux enfants s'aggripèrent avec force à ces deux jambes et Gladriel ne put qu'être ému par ces démonstrations d'amour. De sa main libre, la jeune mère caressa la douche chevelure blonde de Mélusine. Gladriel ne put s'empêcher de rire face à son fils qui était plein d'entreint car elle n'eut pas le temps de répondre à sa question que les jumeaux filaient déjà préparer la table.
Elle se rendit alors réelement compte combien elle manquait à ses enfants et combien ils lui manquaient. Elle aurait désormais le temps de les élever avec amour...

La nourrice arriva pour lui ôter son manteau. Le sourire qu'arborait la jeune femme se dissipa soudainement aux paroles de Corinne. Son regard devint triste et elle lui répondit en se forçant à sourire.

_Disons que le repos sera un peu plus long que prévu...

Gladriel alla rejoindre ces enfants, fuyant d'éventuelles questions de la vieille Corinne qu'elle ne voulait pas entendre. Elle prit place sur l'une des chaises de la table à manger en observant ses enfants qui s'affairaient en cuisine. Haut comme trois pommes, les jumeaux émerveillaient Gladriel par leurs autonomie. " Il seront vite capable de se débrouiller seul" se dit la jeune femme avec satisfaction.

_ Je peux vous être utile?

La réponse de Dame Gladriel laissa la vieille femme perplexe. Etait-elle malade? Elle n'était certe pas enceinte! Elle aimait encore bien trop son défunt fiancé pour tomber dans les bras d'un autre homme et cette jeune femme était une brave fille... pas du genre a travailler dans ces maisons pas très catholiques.

Le Lieutenant s'éloigna et, par respect pour elle, Crinne ne lui posa pas plus de question. Elle se contenta de laver quelques ustensiles et de préparer convenablement la table.

Une fois celà fait la vieille femme laissa les enfants seul avec leurs mère et monta faire quelque ménage à l'étage en attendant que le repus soit prêt.

Vingt ans auparavant dans Brocéliande

Il y a longtemps, merlin l'avait enfermé dans un tombeau, la laissant à la garde des mortels afin, pensait'il, que les hommes n'oublies pas les horreur dont elle est capable. Malheureusement, ses espoirs ne furent que pur rêves et au fil des ans, le lière recouvre la pierre maléfique. Le temps s'écoule doucement ne laissant des souvenir de ce démon que dans les mémoires d'êtres ambitieux et fourbes souhaitant s'attribuer sa force pour leur dessein. La nuit est tombé sur la clairière. La lune se recouvre d'une couleur de sang comme pour annoncer le malheur qui s'extirpe de la terre. Cette nuit nombre de mères perdrons leur enfants tant sa soif de vie est grande. Elle aspire la vie hors de ses enfants encore enfui dans les entrailles de leur génitrice.
La clairière se rempli de soldats, hommes de main de se comte sanguinaire, arrachant les plantes révélant le symbole de la mort. Les moines s'applique a brisé le sceau alors que leur vie elle même est réduite a néant.
La vieille dépouille sort doucement de sa prison de terre pour s'offrir a l'aire pur de la nuit.

Six ans auparavant prés de la forêt

La vieille s'engraisse sur le dos du comte, servant patiemment ses intérêts afin de mieux satisfaire ses envies. Sa soif de pouvoir grandi et elle regarde les fourmis que sont ses soldat idiots commander par un imbécile que seul quelques écu intéresses.
Le soir tombe, encore une lune rouge sang. La rumeur se répand, les torches étincellent, le château se pare de sa plus belle robe. Un cri dans le noir, une agonie, une vie qui s'éteint rapidement. Le gros pourceau s'écroule sur les drap blanc, la jeune pucelle venant de subir les sévices du comte est terrorisé devant l'homme tout en noir. Ses yeux violacé glace le sang de la fillette, le visage impassible de l'homme se détourne pour disparaitre dans l'embrasure d'une fenêtre dans un saut de plusieurs mètres pour la cour en dessous.
Le château se réveille, tous cherche le tueur du comte, tous cherche dans le bas de la tour. Sur les sommet du donjon centrale les yeux violacé rencontre dans une lucarne à l'opposé le regard noire de la sorcière.
La rage la gagne violemment, il lui a confondu ses plans, il doit mourir. La silhouette sombre dans le vide ne laissant pour seul trace que la griffe de ses deux poignard dans le corps sans vie du comte.

trois ans plutôt à Bourganeuf

Il est la! La marque saignant son visage et ses yeux violacés en sont la preuve. Les tueurs l'ont enfin retrouvé. Doucement ils s'approchent, l'homme semble tranquillement se promener. Ils l'attendent, il saute sur lui dès qu'il est à sa portée. Les deux coups son bref, comme deux marque de poignard laissé il y a longtemps sur une autre victime. l'homme à le temps d'en blessé un alors que l'autre fuit. Il sens son corps se vider. il avance encore doucement jusqu'à l'arbre ou il s'écroule. Ce vieux chêne...

Trois mois plutôt quelques part en territoire françois

Une ombre dans la nuit, le convoi circule devant elle. La poussière s'envole, le soleil est a son comble. L'ombre disparait, des mouvements rapides, deux lames et un mort. Le premier garde s'effondre sans un bruit. Le deuxième, prit de panique tente de frapper l'agresseur de sa lance. Les yeux violacés croisent son regard, la sueur coule sur sa tempe avant de s'écrouler dans un râle silencieux. Les flammes s'empare de la carriole alors que les trois autres gardes s'effondre sur le sol. Le questeur sort de la cage en bois enflammé, les vêtements pris dans le tourbillons du feu purificateur.

l'ombre disparait alors qu'un garde épargné s'en va annoncer la nouvelle à la sorcière.

Aujourd'hui bourganeuf, demeure de Gladriel et de ses enfants

La calèche s'arrête devant la porte de cette femme. Si elle l'a tient elle pourra arracher le cœur de se sombre seigneur de la nuit avec une cuillère en argent.
Le garde brise la porte et laisse sa maitresse pénétrer dans la bâtisse. Les yeux rempli de haine scrute les paroi de la maison à la recherche de ce monstre.
Nul trace mais.....