La maison de Gladriel, Cael et Mélusine

Gladriel se mit aussitôt à faire chauffer le lait sur le feu. Elle sourit en entendant Flavien parler à Chaussette. Celle-ci, comprenant qu'elle venait de trouver un nouveau compagnon de jeux s'approcha sans crainte, lui frôlant le bras en ronronnant avec de lui sauter sur dos en miaulant. Déjà elle commençait à jouer avec les cheveux du garçon.

Tandis que le lait chauffait, Gladriel monta à l'étage pour préparer le lit de Flavien dans la chambre d'ami. Elle mit des draps et une couverture propre et ouvrit la fenêtre pour airer un peu. Puis elle redescendit dans le salon et enleva la théière du feu. Elle versa le lait dans un grand bol et l'apporta à Flavien. Elle déposa sur le table basse, le bol de lait chaud, un pot de miel et une cuillère, et une tarte au pomme qu'elle avait faite le matin.

_Tu as du miel si tu veux, mais fait attention le lait et très très chaud! J'avais fait cette tarte au pomme en espérant qu'Arami soit là pour la goûter mais non... J'espère que tu la trouveras bonne!

La jeune femme s'assit sur le fauteuil à côté du feu. Elle coupa une part de la tarte à Flavien et en coup une pour elle

Gladriel finit d'avaler son dernier bout de tarte avant de répondre.

_Et bien nous pourrons aller le voir demain matin si tu veux!

Gladriel attendit alors en silence que le garçon et finit de manger.

_Tu reveux quelque chose? Si ce n'est pas le cas je vais aller te montrer ta chambre, mais je ne t'oblige pas à aller te coucher tout de suite... mais si tu veux être en pleine forme pour demain il ne faudrait pas trop tarder!

Elle sourrit alors au jeune garçon. Sa compagnie lui faisait un grand bien et elle fut heureuse de ne pas dormir seul dans cette maison se soir.

Tandis que Flaviens finissait sa dernière part de tarte, Gladriel mit les ustensiles utilisés dans le bac à vaisselle; elle lavera tout çà demain matin. Elle revint vers la garçon qui ne se souvenait plus de son nom.

_Moi c'est Gladriel... Tu peux m'appeler Gladriel au lieu de madame si tu préfère.

Quand le petit garçon lui prit le main, Gladriel lui sourit tendrement, comme une mère le ferait à son enfant, et ses mots la toucha plus que tout. Puis elle mena Flavien à l'étage, une bougie à la main, Chaussette derrière eux. Il y avait trois pièce: la chambre de Gladriel et d'Arami, une chambre d'ami juste à côté, et au fond du couloir une petit salle de bain.

La jeune femme ouvrit la porte de la petit chambre, elle ne comportait pas grand chose, un grand lit, une armoire, une chaise et deux petites tables hautes aux côtés du lit. Elle aida Flavien à se glisser sous les draps de ce grand lit et déposa la bougie et son bougeoir sur la table à côté de lui. Chaussette, visiblement heureuse de se nouveau compagnon de jeux, prit place au bord du lit de celui-ci.

_Voilà, si tu as besoin de quelque chose pendant la nuit tu peux me demander, n'hésite pas à me réveiller... Si Chaussette t'embête enlève la du lit, elle viendra me rejoindre d'elle même, mais normalement elle devrait dormir tranquillement. Moi, elle ne ma jamais empêché de dormir.

Elle remonta les draps sur le garçon.

_Demain, je viendrais te réveiller pour aller voir Gueldnard... Dors bien, et surtout fais de beaux rêves Flavien!

En un geste d'affection, elle passa sa main dans les cheveux du garçon. Puis elle éteignit le bougie, et elle tira la porte de la chambre, la laissant entrouverte. Elle redescendit pour voir que tout était bien fermé: volets, portes; puis elle monta se coucher à son tour.

La matin était là, et les rayons du soleil se levant ne se montrait que timidement. C'est alors à l'aube que Gladriel, matinale, se réveilla après une bonne nuit. Elle décida de se lever de son lit tout chaud pour s'occuper de la maison. Elle fit son lit, et avant d'aller se laver dans la salle de bain, elle s'occupa de toute les tache ménagère. Elle fit la vaisselle de la veille, et rangea un peu la maison. Puis elle alla nourrire les bêtes.

Quand elle entra dans la grange, c'est par un doux hennissement que Mirabelle l'accueillit. Elle la caressa longuement et lui glissa quelques paroles douces avant de se diriger vers Visgrade, l'étalon Isabelle. Celui-ci était devenu plus docile mais il gardait toujours se caractère joueur. La jeune femme vida alors les boxes pour pouvoir remettre de la paille complètement propre et elle donna au chevaux une bonne dose de foin. Elle donna aussi un bon seaux d'épluchure aux cochons en face.

Quand elle revint dans la maison, il s'était au moins écoulé deux heure, Gladriel ayant prit son temps pour travailler mais aussi pour laisser le petit Flavien dormir.
Elle alla se laver dans la salle de bain, puis enfila sa belle robe grena, celle offerte par sa marraine et qu'elle appréciait tout particulièrement. La jeune femme regarda par la fenêtre, et décida d'aller réveiller le garçon. Elle remplit d'abord une bassine d'eau qu'elle avait fait un peu chauffer pour ne pas qu'elle soit glacé.

Elle entra sans faire de bruit dans la chambre, elle déposa la bassine sur la petite table. Chaussette l'ayant entendu, l'accueillit en miaulent.

_Chut!

Gladriel ouvrit les doucement épais rideaux et alla s'asseoir au bord du lit. Elle posa sa main sur l'épaule du garçon et lui chuchota à l'oreille.

_Flavien... Flavien... C'est l'heure de se lever, je t'ais mit une bassine d'eau et une serviette si tu veux te débarbouiller le visage, je vais aller te préparer une petit-déjeuner...

Sachant que le garçon l'avait entendu, elle descendit, suivit de Chaussette prépara ce fameux petit déjeuner. Tout fut vite fait, elle s'était préparé une tisane et avait fait chauffer du lait pour Flavien dans lequel elle avait mit un peu de miel; sur la table siégeait aussi des pommes, ainsi que de la brioche et des petits gâteaux, de la confiture de fraise et même du beurre... Flaviens n'avait que l'embarras du choix.

Gladriel rit de bon coeur quand elle vit avec quel appétit le petit garçon engloutissait son petit déjeuner. Elle but alors sa tasse de tisanne, sans lâcher de son regard bien veillant le petit garçon. Elle se demanda alors qu'elle pouvait être son histoire? Qui était sa famille? Pourquoi s'est il retrouvé seul? La jeune femme, bien qu'aillant envie d'en connaître plus; ne posa pas de question, de peur de faire remonter à la surface des mauvais souvenirs à l'enfant.

Quand ils eurent finit de manger, Gladriel demanda à Flavien:

_Vas sur le fauteuil s'il te plaît, je vais débarrasser la table, et après ont ira chez Gueld!

Elle débarrassa et lava tout rapidement, comprenant que Flavien devait être préssé d'aller voir Gueldnard. Quand tout fut finit, Gladriel alla carresser Chaussette.

_Passe une bonne matinée Chaussette! Et ne fais pas de bétises! Viens Flavien, on va aller préparer Mirabelle, ma jument!

Elle prit alors le petit garçon par la main; ils sortirent tout deux et ils allèrent à l'étable. Il y avait trois grands box dont deux à leur gauche, le premier contenait une grande jument percheronne grise et le deuxième un bel étalon espagnole isabelle.




La jeune femme sortit la jument de son box , donnant une caresse à Visgrade, l'étalon, au passage, et l'attacha à un anneaux. Elle la pansa, puis la sella. Ils sortirent alors.

_Viens par là Flavien, je vais t'aider à monter sur la selle, moi je monterais derrière toi... Elle grande mais gentille tu veras!

La jeune femme prit alors la garçon par la taille, le souleva et l'aida à moner sur l'immense percheronne. S'aidant de l'étrier, la jeune femme monta derrière la selle.

_Tiens la selle, si sa secoue trop quand on ira plus vite tu me le dira.

Gladriel remonta les étriers pour que le garçon puise y prendre appuie, elle prit ensuite les rênes dans la main gauche et entoure le garçon de son bras droit.

Ils partirent tout d'abord tranquilment au pas, puis pour éviter les secouses désagréable du trot qu'il prirent, la jeune femme partit dans un petite galop, et ils allèrent au chateau de Gueld.

La lumière pénétra dans l'écurie désormais obscure en cette fin d'après-midi voilée. La grande porte s'ouvrit sur une fine silhouette bien connue. L'étalon dressa les oreilles quand il vit la femme qui les nourrissait et sa compagne de boxes arrivée. L'humaine remit la jument dans son box à côté de lui et elle leur mit à tout les deux une bonne ration de foin. Le jeune étalon hennie joyeusement, et la porte de l'étable se ferma alors.

Gladriel marchait difficilement ce tenant la tête. Voilà déjà plusieurs jours que ces vertiges et ce mal de ventre duraient, mais jamais ceux-là n'avaient été aussi violents. Elle ouvrit la porte de la maison et la première chose qu’elle voulut faire c'était monté se coucher. Elle entendit faiblement le miaulement de Chaussette la suivant, et c'est avec une grande peine qu'elle monta les escaliers. La jeune femme fit quelques pas, ouvrit une porte et se laissa écrouler sur le lit. Les yeux fermés elle se massa les tempes. Elle priât le ciel pour que ce mal de tête s’arrête et pour qu'enfin elle puisse avaler quelque chose sans qu'elle refuse de passer par la case "estomac".
La jeune femme s'accroupi, les coudes sur les genoux, puis elle se massa les tempes. Une petite boule de poils grise se fourra contre son ventre.

Gladriel réfléchi alors, pour savoir d'où pouvait venir cette maladie... Elle n'avait pas changé son alimentation, il n'y avait pas raison qu'elle est attrapé froid, et puis si c'était le cas, voilà depuis quelque jour qu'elle aurait dut ne plus être malade! Puis soudain une idée lui vint, tellement invraisemblable qu'elle sursauta si violemment, que la pauvre Chaussette, effrayée, partis se réfugier contre les oreillers. Mais la jeune femme n'y prêta pas d'attention, son esprit occupé par quelque chose de beaucoup plus important.
Elle réfléchis alors, compta sur ses doigts à plusieurs reprise, réfléchis de nouveau, recompta encore... C'était çà, c'était obliger, tout concordait! Tout était si logique! Ce ne pouvait être une coïncidence!

Elle s'enfoui alors la tête dans les mains et elle se mit à pleurer... Elle éclata soudainement, déversant de plus en plus de larmes et ne fit rien pour retenir ses sanglots.
Elle pleura à sans arracher le coeur, elle aurait voulut hurler sa douleur... elle n'était pas physique, elle était mental. Elle aurait dut ce réjouir de cette nouvelle, mais que signifie t'elle quand on est seule?! Elle aurait voulut qu'il soit là pour partager ce qui devait être un "bonheur" avec lui! Mais au lieu de çà, elle était seule à pleurer dans un lit trop grand pour elle. Elle maudit alors le ciel de lui avoir donné cette vie! Elle qui avait tout fait pour rattraper ces erreur! Mais elle priait aussi Aristote de lui permettre de fini sa dans la joie et le bonheur qu’elle avait pourtant tellement chercher… Mais comment prier le ciel quand il vous tombe sur la tête!

C'est alors que la fatigue l'emporta, elle se coucha , les yeux rougit par les larmes et elle s'endormit péniblement, la nuit emplis de cauchemar, fais d'armes et de sang...

Arami ,le pas lourd de fatigue, pousse la porte avec vigueur. Dans la pénombre de la nuit, les traits d'arami luise de bonheur. Ses yeux remplis de joie cachent les cernes noires offertes par ses nombreuses nuits blanches a chasser et a travailler.

Rapidement, il s'écarte pour laisser libre le passage pour sa douce et tendre. Avant de s'effacer dans la nuit, se dirigeant dans la nuit pour aller soigner les chevaux et dé seller le destrier ayant porté sa douce dans le froid qui tombe sur le paisible visage.

Les deux chevaux, une fois pensé, son rentré dans leur box. Le foin distribué aux différent animaux présent, arami ferme le grand battant de la porte et ouvre le clapet dans le mur qui permet de faire transférer l'air chaud dans la maison. Les cordes et entrave solidement attaché, arami se dirige vers le coté de la maison ou il étreint quelques belles buches qui devrait se consumer sur la nuit. Le vent fouette son visage, qui pourtant n'en semble nullement affecté. Son dos arc bouté lui laisse un air de corps disloqué sur un champs de bataille. Difficilement, il progresse jusqu'à la porte de la maison qui fait glisser sur ses gonds peu huilé. Le bois une fois déposé, Referme et barricade la porte. Il se dirige vers le feu et en mêlant une huile incandescente avec les quelques brindilles s'y trouvant. Le feu danse presque immédiatement dans la cheminée encore tiède de son hôte précédent.

Alors que son visage rougit suite au contacte de l'air ambiant,il cherche des yeux sa douce voulant la serrer dans ses bras.

Aujourd'hui il n'était plus un simple éleveur de cochons, Aujourd'hui, par les nouvelles qui lui ont atteint les oreilles, arami est devenu un homme avec toutes les responsabilité qui lui en incombe.

La maison fut en vue avec ses quelques fleurs vivaces qui embelissaient les murs. Gladriel decendit de Mirabelle et la porte lui fut ouverte... Elle entra et laissa Arami s'occuper des chevaux. La jeune femme monta alors à l'étage et se dirigea dans sa chambre. Elle rinça son visage et notament ses yeux rouges de larmes. Puis elle se changea, abandonant sa vielle tenue de voyage pour enfillé la grande robe grena que lui avait offert sa marraine. Elle donna une petite carresse à Chaussette qui dormait sur le lit.

La jeune femme décendit alors, et sentit la chaleur qui commencait à se répendre dans la pièce. Arami était devant le feu qui donnait à son visage une teinte mystérieuse. Elle resta un moment là, à l'admirer comme les premières fois... Un homme grand au regard d'un bleue clair, mais si profond, des cheveux toujours en bataille... Elle sourrit alors et s'approcha de l'homme qu'elle aime et croisa tendrement ses doigts dans les siens.

La recherche de l'être aimé ne fut as longue, rapidement, la silhouette de sa douce se dessine dans l'embrasure de l'escalier. Elle est superbe, ses yeux encore un peu rougit par les larmes scintille dans la pénombre de la pièce. Son visage serein comme a son habitude. Il se dégage d'elle une tendresse infinie que les yeux capture avidement. Arami s'approche de sa douce.

Il peut sentir son souffle délicat sur sa peau. Ses yeux se plonge dans les siens. Arami se sent quelques peut honteux de son comportement. Comment avait il pu la laisser de côte comme on emmaillote une arme lorsque la guerre est finie. Doucement, leurs mains s'enlassent exprimant une danse dans la lueur du feu. La douceur de ses mains contrastent avec le froid de sa peau. Doucement, il l'a ramène près du feu, la dévorant des yeux.



Ma douce, tu est la plus belle!


Une de ses deux mains quitte le balai pour allez se poser maladroitement sur le ventre de sa douce.

Il n'aura pas eut froid au moins?

Arami se sent étrange, un sentiment qui lui est inconnu longe son échine jusqu'à le glacer. L'angoisse lui étire les tripes, le long chemin de père s'ouvre doucement devant son horizon. Juste pour cette raison, Arami n'aime que plus sa douce et tendre.

La jeune femme se laisse guider par Arami et il se retrouve près du feu. Il lui parle alors et ses mots sont doux et tendre.

_ Mais sans toi je ne serais rien... J'ais la chance d'être avec le plus bel homme du monde!

C'est là qu'il lui pose doucement la main sur le ventre... Il ne semblait pas avoir prit la nouvelle mal, mais elle le sentait hésitant, éffrayé... Elle posa alors sa main sur la sienne, la tenant fermement mais avec douceur. Elle lui sourrit alors, un sourire qui se voulait réconfortant. Tenant toujours la main d'Arami dans la sienne, elle pasa son autre main sur le visage fatigué du jeune homme, lui carressa doucement la joue.

_Il n'a pas eu froid ne t'inquiète pas... J'espère qu'il ou elle te ressemblera...

Elle plongea ses yeux bleus sombre dans le regard de son ange. Comme elle en était amoureuse! Elle en était sur, elle ne vivait pas avec un simple homme, mais bien avec un ange... Elle déposa un tendre baiser sur les lèvres chaude d'Arami continuant de lui carresser de ses doigts fins.

Arami goute chaque instant. savourant l'odeur de sa douce, odeur au mille et un parfum, chatouillant l'odorat d'arami de la plus agréable des façons.

L'enfant n'avait pas eut froid et cela calme les angoisses d'Arami. il se sent respiré. La voix de sa douce résonne en lui comme une mélodie enchanteuse. Il se laisse ensorceler par la douce musique qu'il aimait tant, la était la magie de son amour. En effet, tout chez sa douce était poésie, la poésie n'aurait aucun sense si elle n'existait pas.

Jettant un regard dans un coin sombre de la piéce, ou le métal luisant scintillait, Arami eu un gout amer dans la bouche. Tant de bonheur dans cette période de trouble et de haine. Ca tache n'en était que plus grande. Il devait préservé du malheur sa maison et y apporter tout le bonheur qu'il pouvait.

Il marque la douceur de ses mains dans son esprit.

Je t'aime mon amour!

Il tire vers lui sa douce et la couche sur une belle peaux de biche, l'enlassent et l'embrassent tendrement.

L'atmophère chaleureuse semble avoir figée le temps. Plus rien ne compte plus pour Gladriel que l'homme qui est devant lui. La seule chose qui lui parvint à l'esprit c'est le doux son du crépitement des flammes, mais plus rien ne vit plus, elle ne voit que lui... Lui qui la tiré du désespoir, lui qui lui a réapprît à vivre et lui qui a donné un sens à sa vie.

Elle le sent près d'elle, sa seule présence enlevait toute tristesse et douleur dans son coeur et son esprit... L'Homme cherche toujours la porte du paradis... Mais Gladriel, elle, elle ne la cherche plus car elle l'a trouvé. Le paradis n'est rien sans les anges, et quand les anges tombent du ciel, c'est dans une petite maison de bois que subsite le bonheur éternel.

La vie ne fait pas de cadeaux, mais elle lui a accordé une chance d'être heureuse, et cette chance elle l'avait saissit. Malgrès les moments "bas" de ces derniers temps, elle voulait lui procurrer autant de bonheur que lui lui en donnait. Son amour pour lui n'avait pas d'égal.

Gladriel se laissa guidé, et embrasse de plus en plus passionement Arami, ratrappant tendrement les moments passé sans lui...

Arami plonge son regard dans ses yeux,

Mon ange, souhaite tu mangé quelques chose?

Il n'avait point vraiment faim malgre son jeune de plusieurs jours car les yeux de sa douce le rassasiait. Lentement il se léve pour remettre une buche dans le feu. Ensuite, il sort d'un petit meuble une bouteille de jus de sorbier dont le gout était assez fort pour reveiller un ivrogne mais dont le parfum enivrait les narines.

Il verse un peu du melange dans un verre le tendant a sa douce:

je t'en prie, c'est un gout fort prononce mais cela te protégera toi et le petit du froid et de la maladie. Ses vertues en sont immenses.

Gladriel sourrit à Arami.

_Non merci, çà ira.

Puis son ange se leva et il lui apporta un verre. Elle eu un petit rire à ces paroles.

_Il ne risque pas d'être malade! Merci mon ange...

Elle but alors le liquide en entier et il est vrai qu'il était fort et il laissa sur son passage un immense bouffé de chaleur. Gladriel se leva alors et déposa le verre sur le meuble le plus proche. Puis elle prit la main d'Arami et elle lui parla d'une voix douce, presqu'un murmure.

_Il est tard, allons nous coucher...

Elle l'entaîna alors, monta les escaliers, l'emmenant vers la chambre et fermant la porte tout douccement...

Un large sourire desinne le visage darami a la vue de la grimace de sa douce. il renge sa bouteille avant d'être agrippé delicatement par ca douce et tirer vers l'étage ou il allais rejoindre leur chambre. au passage, Arami tire la petite corde, ouvrant par la l'ouverture qui ferait monter la chaleur du feu dans leur chambre.

Arami suivait sans rien dire sa douce, se laissant guider le long des marches. Il n'était que trop admiratif de sa douce.

N'est il point vrai que je suis l'homme le plus chanceux du monde. J'ai la plus belle de femme et elle va donner naissance a mon enfant qui ne peut etre une merveille grace a l'artisant de la vie qu'est sa tendre maman. se dit'il.

ils disparraissent dans la penombre de l'escalier, connaissant le chemin par coeur et laissant les flamme jouer leur balais pour d'inanimer spectateurs.

Le petit jour était là, le ciel était bleu sans nuage apparant... C'était une belle journée. Un jeune homme courrait dans Bourganeuf à la recherche d'une maison précise et il fut heureux quand il la trouva. Il arrangea un peu ses cheveux avant de se présenter aux résidents de la maison. Il s'approcha alors de la porte et il frappa quelques petits coups attendant qu'on lui prenne le colis et la missive qu'il été chargé d'apporter.

Citation :

Ma chère belle Gladriel,

Je n'ais pas oublié cette date, 7 octobre... Aujourd'hui tu as vingts ans et j'espère que cette année de sera plus qu'heureuse!! Désolé de ne pas être revenue à Bourganeuf mais étant pendant un temps en guerre et à cause des conflits, je ne suis pas vrevenu, je ne voulais pas t'appotter d'ennuie. Mais je pense que je viendrais te voir dans quelque temps, je préfère attendre un peu n'étant pas moralement en forme... ne l'étant pas souvent d'aillieur!

Mais je ne veux pas te plomber le moral. Je t'es fais envoyer un petit paquet contenat quelque présents, en espérant qu'ils te plairont. Si jamais il sont égarés ou cassés dit le moi et j'égorgerais celui qui était chargé de te transmettere ce paquet!

Je te souhaite tout le bonheur du monde
Et notament un bon anniversaire

Mélianos qui t'embrasse

.

Quand on lui ouvrit, le jeune homme tandis la missive et le petit paquet qui contenait deux chose:



Pui il salua poliment la personne qui lui avait ouvert et il s'en retourna.

Arami c'était levé de bonne heure ce matin. La fraicheur de la piéce au petit jour lui indique combien l'hiver approche. Une envie de s'enfonce sous la lourde peau de chevreuilles l'attire vers une matiné de paresse. Son regarde se pose sur le corps de sa douce. Son ventre devient un objet de curiosité et Arami l'inspecte sous tout les angles. Dans son esprit, une etrange idée fait son chemin. Il lui faudra chaleur et comfort afin de ne pas ll'exposer au maladies. Cela le fit levé.

Arami se dressa dans la chambre gelée, avant de mettre ses frusques et de descendre dans la piece de vie. d'une main vive il chatouille les cendre afin d'en retiré les quelques braises qui se consumme encore dans l'atre noircie. Les quelques braises ravivées, il fait couler quelques lampée d'huile pour faire reprendre le feu mourant. Le liquide gras coule lentement le long d'un bois rongé par le feu de la veille, et s'embrase à l'approche des vbraises.

Une buche apres l'autres sont ajouté afin de cree un brasier capable de réchauffer la piece ainsi que la chambre assez rapidement pour ne pas que sa douce ne ressente le froid.

Dégagent la porte d'entré de ses verrous, arami reste pensif. la brise matinale vient le gifler dès l'ouverture de la lorde menuiserie. Le soleil indique dans le ciel l'heure de 7 heures. Au loin un coursier approche. N'y pretant pas attention , il referme la porte avant de retourné au bord de la table y cherchant son couteau. L'ayant trouvé et affuter un peu arami ouvre un grand coffre du quel il sort un pain noir mais moelleux. Sa main fouille le fond du bac cherchant un pot de confiture et un autre contenant du miel de l'année.

A la porte quelqu'un frappe. La premier fois arami n'etait pas sur mais a la deuxième sommation il se léve de la table, se dirigeant vers l'entrée. ouvvrant grand la porte il acceuille le messager avnat de prendre le colis dans ses mains. N'ayant ^point le temps de le remercier, le dernier fait demi tour et disparait dans les rue. Il rentre tout en prenant le soin de saisir une rose rouge. Il dépose le tout sur un plateau avant de se diriger vers les escalier en haut duquel son petit brin de femme devait surment encore dormir.

Un chaleur enivre chaleureusement la pièce. De sous ses couvertures, seul un bout de sa tête apparaissant, Gladriel oscillait entre le rêve et le réveil. La jeune femme se sentait tellement bien au chaud qu'elle peinait à ouvrir les yeux et si elle l'aurait put elle se serait bien rendormi. Mais la journée et faite pour se réveiller et non pour dormir!

Mais cette réflexion fut arrêter par le son de doux pas montant les escaliers. Elle vit alors entrer Arami rentrer un plateau à la main. D'une voix douce et surtout toute petite à cause du réveil récent elle lui parla.

_Bonjour mon ange!

Le seuil de la porte franchi, Arami aperçois le doux sourire de sa douce lui disant d'une voix douce bonjour. Immédiatement sa réponse fit vibrer ses cordes vocales faisant monté un sonde voix quelques peut enroué

Bonjour petit ange du matin

D'un pas sur, il se dirige vers le lit posant le plateau au côté de sa douce. D'un geste souple il pose un tende baisé sur le front de cette dernière avant de lui indiqué qu'un paquet était arrivé à son intention. Ne contant plus la situation du matyin il lui tendit une enveloppe liée avec un paquet. Ne cherchant point plus d'explication, il s'en retourne près du feu a l'étage inférieur chercher le lait qui chauffait doucement.

Le récipient été fort chaud et déjà une croute de mousse se formais sur le dessus du liquide. Avec une cuillère en bois, il retire la graisse ou du moins le plus gros laissant encore chauffé un peu le contenu dumarmiton en terre cuite.

Le bel Arami posa le plateau à côté d'elle et la jeune femme s'assit alors sur son lit. Elle remercie son ange de lui avoir apporter le paquet et elle sourit à son petit baiser sur son front. Avec curiosité elle prit la lettre et commença à la lire avec attention. Elle était courte mais pleine de sentiment et la jeune femme en fut plus qu'émue. Elle sourit, remerciant du fond du coeur sa marraine... Elle était heureuse qu'elle avait pensée à son anniversaire sachant bien que cette semaine là lui était particulièrement difficile et à Gladriel aussi bien, qu'elle, elle avait réussis à aller de l'avant.

Elle ouvrit alors le petit paquet avec autant d'enthousiaste que l'aurait fait un enfant devant son cadeaux de Noël. Et un cris de joie sortie de sa gorge quand elle vit le pendentif et le diadème en argent. Elle s'empressa alors d'attaché la chaîne et elle posa le diadème sur sa tête. Comme une enfant naïve et insouciante et courut jusqu'au miroir le plus proche s'admirant sous tout les angles.

Elle enleva le diadème et elle s'habilla enfila la robe grena elle aussi offerte par sa marraine puis elle coiffa ses longs chevaux châtain foncés puis elle remit le diadème en place. Elle prit alors la lettre la relis de nouveau et la posa dans un petit coffre où elle gardait toute ses lettres.